Tu sais, "tout a un sens", Patrice, tu es gentil, vraiment dans ce cas-là, mais tu n'as pas tort du tout !
D'abord la signification sous-jacente de ma tristesse d'être plombé par un sentiment de solitude.Ensuite, le sens intentionnel du texte écrit en pensant à mon Simon, au cimetière de Loulé, en Algarve, au Portugal). Un texte qui se relie directement aux charniers baudelairiens (sans l'habileté de Charles Baudelaire) et aux charogneries du compagnon de Rimbaud, Paul Verlaine. Puis, celui que toi, comme tout lecteur, attribue, selon ta sensibilité, à ta lecture sensible de ce texte.
Tu m'émeus car tu rejoins l'attitude d'un psychanalyste qui ne baissait jamais les bras devant la folie ; pour Antoine Appeau, mon Grec de Saint-Étienne, "tout a [avait, il est mort hélas] du sens", même le plus embrouillé des humains pris dans le labyrinthe de ses silences et de ses mots confus.
Merci, Patrice !