La tristesse est un nuage vaguant au ciel - Littérature & poésie

La tristesse est un nuage vaguant au ciel,
Pétrie d'orages et de froideurs ; et une orange,
Un arc-en-ciel voilé d'une couleur étrange,
Distillée par le sol ; et les barres de miel,

Engrangées par les abeilles, le contraire du fiel
Naviguant dans la digitale ; et puis un ange
Un friselis de plumes, qu'un cannibale mange
Le jour de l'Assomption ; lorsque brille un soleil,

La terre se rétracte, elle est un faux témoin,
Et son visage sépulcral comporte un groin
Fouilleur de cadavres ; tout comme un tubercule,

Un mort ne ріре mot, au loin de la basсule
Des nuits et des journées ; le silence est un fruit
Écrasé par le noir et blet comme un kiwi.


Jeudi 5 Juin 2014, Climax69007.

Tellement joyeux X)

La tristesse est un sentiment mal vu, condamné à la clandestinité sur ce forum (comme sur tout forum), pourtant elle est fort commune et partagée, je ne crois pas être une exception ; mais, à peine apparaît-elle que, sous la forme d'un constat, une image (qui n'a rien de commun avec une métaphore), la rend plus lourde qu'elle n'est et la fige du côté du mortuaire, faisant fi du déroulement du texte.

Un texte tгапsmet une atmosphère, il ne la fige pas.

De plus, un texte n'a pas la fonction de mettre les autres en joie, mais il a pour fonction minimale d'être au plus près des sentiments іпtіmеs de celui qui écrit : telle est la morale qui doit guider chacun, c'est quoi qu'il en soit celle qui me guide.

La tristesse est un sentiment mal vu, condamné à la clandestinité sur ce forum (comme sur tout forum), pourtant elle est fort commune et partagée, je ne crois pas être une exception ; mais, à peine apparaît-elle que, sous la forme d'un constat, une image (qui n'a rien de commun avec une métaphore), la rend plus lourde qu'elle n'est et la fige du côté du mortuaire, faisant fi du déroulement du texte.

Un texte tгапsmet une atmosphère, il ne la fige pas.

De plus, un texte n'a pas la fonction de mettre les autres en joie, mais il a pour fonction minimale d'être au plus près des sentiments іпtіmеs de celui qui écrit : telle est la morale qui doit guider chacun, c'est quoi qu'il en soit celle qui me guide.

pour moi un forum est un défouloir d idées et de ressentiments à un moment précis
je suis nouveau sur ce site et je trouve que la vrai valeur de ce forum c est ce melting pot de véracité, de cris de colères et des coups de coeurs
il y a des perturbateurs, des usurpateurs, des moralisateurs, des censeur mais il y a aussi des amuseurs, des rieurs, des gens qui te jettent leur bonheur.
j aime autant lire tes textes que blablater sur le dernier jeux vidéo
j ai l impression que tu l a un peu mal pris ce que t a dis le profil précédent mais c est juste une impression de ma part
qui suis je pour te critiquer ou pour t offenser suis là pour m amuser et me changer les idées

Merci Climax!

Je ne suis vexé en rien ; la silhouette avec faux de la Mort (cette allégorie) ne résume en rien mon texte. J'en profite simplement pour exprimer ma morale de l'écriture. Et je confirme que ce texte est un élément parmi d'autres, un élément qui ne prétend pas à l'exclusivité.

Oh mon cher climax !

Je dois déjà te dire que tu t'exprimes extrêmement bien ... C'en est presque rageant ! Moi je suis là avec ma prose de merde. Bref, chapeau.

Ensuite, cette photo n'était pas faite pour vexer ou humilier. Elle exprimait juste mon sentiment sur le moment, à savoir que c'était un texte que je trouvais triste ... Le petit commentaire étant fait pour dédramatiser la chose. En clair, je n'ai rien contre toi, bien au contraire, j'ai juste fait le choix il y a quelques années de ne plus me laisser abattre, par la tristesse et le reste. Et c'est ce que mon post visait à faire ressentir, et non de la moquerie.

La Dame à la faux résume ton impression d'un moment ? Bon. Alors, passons. et venons à l'essentiel.

Si tu as décidé de ne pas te laisser abattre

par des sentiments de tristesse,

imagine alors que pour d'autres - comme moi -

ressentir a été conquis sur le vide des émotions,

et que la morale de l'écriture qui s'impose à moi

n'est qu'une fidélité à ce mouvement salvateur

sans cesse réitéré, et coûteux, de ne pas faire fi

de mes émotions, et de les exprimer sans maquillage.