L'amitié
La tristesse s'évase et recueille nos larmes,
Sur un lit de vase et de gelée pétrifiée ;
La terre est dure au songe et n'appelle l'été
Qu'aux fureurs déposées, éloignées les alarmes ;
Notre âme est un néant brisé qui a des сhагmеs
Vіегgеs et inconnus, des soleils abrités,
Réchauffant l'amitié, celle qui fructifiée
Nous instille une ivresse où se replient les armes ;
Alors, caressante, il traverse notre for
Intérieur une étoile à nulle autre pareille,
Маîtгеssе du dégel et de notre réveil,
Cristalline surface où savoir notre sort :
Nous reconnaître enfin, palper ce que nous sommes,
Étendre notre espace, englober notre somme.
Climax69007, le Dimanche 24 Février 2013 à 17h53
- Bon, malgré les corrections, j'ai fait mieux !
Je suis tout ouïe à vos conseils pour améliorer cela : oui, aidez-moi !
Je vous en serais reconnaissant.