Le "bonheur" un droit constitutionnel... - Politique & Droits des homosexuels

En faisant une recherche, je suis tombé là-dessus, bien des groupes qui ciblent des états et qui à l'origine garantissait le bonheur à tous les citoyens dans leur constitution (étrange quand même), ce serait un droit constitutionnel ????

France: 1er paragraphe sous l'image, dernière phrase du préambule de la constitution française.

http://www.syti.net/DDH.html

USA: on le site encore au préambule de la déclaration d'indépendance des USA comme The Pursuit of Happiness ( À la poursuite du bonheur).

http://en.wikipedia.org/wiki/Life,_liberty_and_the_pursuit_of_happiness

Canada: rien on ne parle pas de bonheur dans la constitution canadienne, mais bien du bon Dieu :))

http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/const/page-15.html

Étrange quand même qu'aujourd'hui bien des groupes, des juristes, des politiciens, des citoyens se penchent sur le sujet quelque 200 ans après que ces articles furent écrit.

«TOUT EST PRIVILÈGE CONCÉDÉ PAR L’ÉTAT -- VOTRE VOITURE, VOTRE MAISON, VOTRE PROFESSION, BREF VOTRE VIE; ET CE QUE L’ÉTAT DONNE, IL PEUT LE REPRENDRE SI VOUS N’ÊTES PAS UN CONTRIBUABLE DОСӏLЕ» déclaration faite et reconnue devant une commission de l’assemblée Nationale du Québec par M. Pierre-André Paré, sous-ministre du Ministère du Revenu du Québec. (Le Devoir, 6 avril 1996

http://www.evolutionquebec.com/site/citation.html

Conclusion: Si vous croyez que vous êtes libre dans les démocraties,
vous êtes dans l'illusion !

Tu parles d'un sujet bidon.
Bonne journée tous le monde.

Bien sûr que le bonheur est un des droit de l'homme. c'est même le droit le plus important, à mon avis. les lois devraient toujours être passées avec en tête que leur but est de permettre aux gens une chance de trouver leur bonheur. du droit au bonheur découle le besoin d'égalité, de justice, de liberté, etc. le fait est que bien des gouvernement semblent avoir oublié ce...petit détail. en même temps, j'aurai bien du mal à citer un gouvernement qui cherche réellement le bien de ses citoyens plutôt que le profit de certains, donc aucune surprise à ce que le droit au bonheur soit passé sous silence et considéré comme trop abstrait pour être digne d'intérêt.