J'ai longtemps hésité pour le terme final, Bobarnaud, et puis j'ai eu des difficultés à unir en un tout cohérent, tercets et quatrains (ce n'est pas obligatoire, d'ailleurs, si l'on suit d'autres traditions poétiques, que les deux s'accordent) ; mais, je crois, ргоfопԁément, que les traces laissées par chacun, oubliées et quelquefois réinventées approximativement par une imagination ne sachant même pas à quel être elle redonne vie, subsistent, dans le souvenir, puis dans l'absence de mémoire, puis dans l'oubli, par dessus l'éternité !!!