Le lys de la blancheur, la balancelle au ԁоіgt - Littérature & poésie

Le lys de la blancheur, la balancelle au ԁоіgt
Insouciamment hardi provoquant le soleil
Et les constellations dilatant le sommeil,
Est un long agrément et dessine un étroit

Sillon perdant le Nord, défiant cet émoi
Du glacier transparent, du cristal sans pareil
Pour raviver encore - la droiture en éveil -,
La vie se déployant l'ultime et seule fois.

Il nous faudra compter les globes et les espaces !
Les contours d'une lèvre à peine est-ce un été,
Les grappes alourdies sur un mot chuchoté ;

Les murmures épars franchissant les crevasses
A peine ont un soupçon de la commune part,
De ce qui se presse à jamais, et vient trop tard.


Climax69007, le Samedi 13 Juin 2015.

Climax mon ami, j'ai parcouru ces vers,
cherchant la moindre faille pour te mettre en défaut
inspectant à la loupe, le choix de chaque mot
mais rien pouvant ici choquer un littéraire.