Aventure dans le train de nuit
Je montais dans le train en gare de Nantes pour un voyage de nuit pour Nice, cétait le début d'une soirée du mois de juin, javais mon billet pour une couchette en 1ère , je trouva le compartiment où un homme avait déjà pris place sur une des couchette du bas.
Il répondit avec sympathie à mon bonjour et se leva pour me proposer son aide à porter ma valise en me conseillant de la poser comme il l'avais fait sur la couchette du haut puisque que le contrôleur avait pu lui préciser qu'il n'y avait que deux réservations pour notre compartiment.
L'embompoint de ce monsieur d'une soixantaine et le peu d'espace fit qu'il se plaqua à moi pour maider à porter mon bagage, je réalisa qu'il profitait de la primiscuité pour me coller. Je pouvais sentir sont ventre mou dans mon dos et pendant que je levai les bras il s'appliqua à m'aider en me tatant la poitrine.
une fois ma valise stationnée, en constatant que je ne me formalissait pas, il s'excusa juste pour sa tenue décontractée en caleçon et chaussettes, et il me conseilla de profiter dêtre entre hommes pour me mettre à l'aise pour ce long voyage.
Malgré mon trouble la perspective de ce voyage en compagnie de ce monsieur rentre dedans sans équivoque commençai à m'émoustiller, j'avais la trentaine quelques ехрéгіепсеs hоmоsехuеllеs et une attirance pour les hommes mûrs.
Il c'etait assis pianotant sur son téléphone et me laissant suffisament d'espace pour que je puisse me deshabiller debout, c'est en petit slip échancré et chemisette que je m'appliqua à plier mes vétement et déplier mon drap de couchette. Il me mattait par dessus ses lunettes plus qu il ne regardait ses messages. En riant il me fît remarquer qu au regard de mon bronzage ma culotte devait être bien plus petite que mes maillots de bain ! Me retournant vers lui je m'asssis et lui répondit sur le meme ton de plasanterie que cela devait etre par timidité en extérieure. Je commençai à Ьапԁег et cela il le voyait bien et d'ailleur il me reluquait sans détour me dt qu'il avait de la chance de partager cette cabine avec un si charmant compagnon puis il sallongeat et je pu voir que son sехe avant habondonner toute pudeur au regard de la bosse de son caleçon moulant je pouvait deviner un ԛuеuе de bonne taille avec un large glапԁ humide qui marquait le coton... à suivre...