Le passage du jour est un chat aux yeux pers,
D'un dédain effleurant l'humidité imbue
Dans mes cils refermés sur ma peau toute пuе ;
Il dépose en rêvant des lèсhеments amers
Invitant au voyage vers les cieux impairs,
Chargés d'un soleil lourd et de l'épaisse пuе
Des Tropiques veinés de l'immense eau venue
Entourer et briser les tohu-bohu verts ;
Et la trace est infime du félin solitaire
Pliant sa courbe échine, cependant réfractaire,
Dans les passes du vent déployant un regard
Vous passant au travers, effaçant les automnes
Et les craquèlements, défiant les monotones
Étendues, les cris fauves et un oblique hasard.
Climax69007.