Le petit peuple - Musique & cinéma

La soif de pouvoir, de ԁоmіпег les autres, d'imposer sa façon de penser sont des traits de caractère naturels chez l'homme.

Bien sûr il est plus ou moins développé selon les personnes.

En chaque homme sommeille un tyran...

La bête peut se réveiller à chaque instant!

Mais n'oublions pas que la plupart des tyrans finissent mal...

Il ne faut rien imposer, il faut partager.

Bonsoir Pégase,
je crois que l'homme a souvent besoin de croire
qu'il détient la vérité sinon il doute de son environnement
et de lui-même....d'où ses tentatives d'imposer ses vues au plus grand nombre.. et s'il y arrive, il y croit davantage...

En effet greenary,

C'est pourquoi il faut débattre pour partager nos points de vue.

Il ne faut pas qu'un seul individu impose ses choix aux autres.

Il faut s'entendre et s'organiser en groupe.

En effet greenary,

C'est pourquoi il faut débattre pour partager nos points de vue.

Il ne faut pas qu'un seul individu impose ses choix aux autres.

Il faut s'entendre et s'organiser en groupe.

Bonsoir pégase

Je suis tout à fait de cet avis.....

En effet greenary,

C'est pourquoi il faut débattre pour partager nos points de vue.

Il ne faut pas qu'un seul individu impose ses choix aux autres.

Il faut s'entendre et s'organiser en groupe.

Bonsoir pégase

Je suis tout à fait de cet avis.....

Bonsoir Kalison,

Homme sage que tu es!!

Non je rigole, ma tête va plus passer les portes!

Bonsoir Pégase,
je crois que l'homme a souvent besoin de croire
qu'il détient la vérité

Merci, épisode très intéressant (et de celui-là, je m'en souviens!).

En fait, Greenary, je crois que l'homme détient SA part de vérité, celle qu'il voit à travers son prisme.
Et LA vérité est la somme de toutes ces parcelles de vérité.
Enfin, c'est mon point de vue.

Or souvent, dans nos sociétés, nous remplaçons une vérité par une autre et nous tournons en rond comme ça.

C'est un peu ce que l'on voit dans l'épisode avec le renversement de la statue. Cette scène se répète depuis la nuit des temps dans nos sociétés.