Fleur qui fane, se déchire dans l’ombre,
Tu perds tes pétales, dans la pénombre.
Le renouveau du temps, redonne l’espoir,
Extraordinaire Iris, seul, qui sort du noir.
Lorsqu’une larme, glissera sur ma joue,
Elle nourrira ce paysage, un peu fou.
Pour balayer les billevesées amères
Des entrailles nouées de la Terre.
Bercée par le vent, envolée dans les champs,
Pareille aux émotions d’un instant.
De celles qui nous font vivants.
Je me meurs… un instant !
By Kali75000