En réponse au message de frenchy5864 :
La réalité est beaucoup, beaucoup plus complexe que ça.
Je te rejoins quand tu dis que la réalité est complexe et pas seulement au niveau statistique…
Souviens toi du Sidaction 1994 au cours duquel Clémentine Célarié embrasse un séropositif.
Quel rapport avec la choucroute
Au cours de cette émission, il a été dit un peu trop fort que l'essentiel des malades du SIDA étaient les homos et les ԁгоgués par injection…
Résultat: Fléchissement des dons; les gens lambda réalisant qu'ils n'étaient finalement que très peu concernés par le truc…
Depuis, on fait bien attention de ne pas dire trop fort certaines choses…
Mais les chiffres sont là:
Chiffres 2016 (vih.org)
3 200 diagnostiqués en 2016 sont hétéro sur 6006 nouveaux cas de séropositivité.
Les plus de 2000 homo déclarés dans cette étude montrent bien que la voie royale pour se faire plomber, c'est quand même, et de loin, coucher avec des mecs.
Il suffit de mettre en parallèle la proportion d'hétéro et d'homo dans la population pour que ça saute aux yeux, non
Je reviens sur la sensibillité féminine vis à vis du SIDA:
(source oms)
Les femmes sont probablement plus susceptibles d'être infectées par le VIH au cours de n'importe quel genre de rapports sехuеls que les hommes en raison de facteurs biologiques – les zones de muԛuеuses exposées durant les rapports sехuеls sont plus étendues chez les femmes que chez les hommes; plus grande quantité de fluides tгапsférés par l'homme que par la femme; plus forte teneur en virus des fluides sехuеls transmis par les hommes; et des microdéchirures des tissus du vаgіп (ou du гесtum) peuvent être causées par la рéпétгаtіоп sехuеllе. Les jeunes femmes sont plus particulièrement susceptibles d'être infectées.C'est cela qui fait que, en Afrique par exemple, un sidéen sur deux est une femme.
Mais cela ne change rien au fait que la pratique homo soit le vecteur premier de la maladie.