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Les longues traînées noires dans le ciel piqueté - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Les longues traînées noires dans le ciel piqueté
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 22 février 2015 à 21:21
    Les longues traînées noires dans le ciel piqueté
    La jetée aux bourrasques et l'île tout derrière
    Aux brisants éсumeux portaient cette lumière
    Octroyée par tes yeux dans leur intensité ;

    Les mèches du vent drues, dans leur brièveté,
    Les arbres recourbés, tout comme au cimetière
    Les dalles étaient jetées et dépavée la pierre,
    Brossaient une toison, ta franche obscurité ;

    Et les sacs emmêlés, en habillant le vide,
    Entouraient des espaces, susurrement livide,
    Ta présence infinie, élégant grandement

    Par les châles étoffé, couleurs disséminées
    Au passage glissé de ton effacement :
    Le monde est-il ainsi, toutes choses minées ?

    Climax, le Dimanche 22 Février 2015.



    Dédicace :


    Com carinho, saudade, lembrança, memória, fascínio e repúdio, com amor e raiva, com o olhar vagabundo e com os teus olhos no meu fitar, com o teu corpo que se desfaz no meu hoje em dia e cada dia que passa e com o teu fапtаsma que não consigo a ver, para C.J. S. G. de A.

    "Avec ma tendresse, mon regret de toi, ma souvenance, ma mémoire, mon attirance et ma condamnation, avec mon amour et ma rage, avec mon regard vagabond et avec tes yeux qui demeurent dans mon regard fixe, avec ton corps qui se dissout dans le mien aujourd'hui et chaque jour qui passe et avec ton fantôme que je ne parviens pas à distinguer, pour C.J. S. G. de A."
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 25 février 2015 à 23:42
    Cela ne va pas du tout : il manque de la ponctuation. Ce qui m'avait échappé : on ne se relit pas suffisamment.




    Les traînées longues et noires dans le ciel piqueté,
    La jetée rebroussée par les vents, et derrière
    Les traces de la pluie filtraient cette lumière
    Octroyée par tes yeux dans leur intensité ;

    Les chevaux emballés dans leur fugacité,
    Les arbustes en bataille, tout comme au cimetière
    Les dalles, étaient brisés et dénoué le lierre,
    Brossant une toison, l'honnête obscurité ;

    Et les sacs emmêlés, en dessinant le vide,
    Suggéraient des espaces, susurrement livide,
    Ta présence infinie, mon fantôme élégant

    Par les châles étoffé, couleurs disséminées
    Au passage étouffé de ton effacement :
    Le monde est-il ainsi, toutes choses minées ?

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