Les longues traînées noires dans le ciel piqueté
La jetée aux bourrasques et l'île tout derrière
Aux brisants éсumeux portaient cette lumière
Octroyée par tes yeux dans leur intensité ;
Les mèches du vent drues, dans leur brièveté,
Les arbres recourbés, tout comme au cimetière
Les dalles étaient jetées et dépavée la pierre,
Brossaient une toison, ta franche obscurité ;
Et les sacs emmêlés, en habillant le vide,
Entouraient des espaces, susurrement livide,
Ta présence infinie, élégant grandement
Par les châles étoffé, couleurs disséminées
Au passage glissé de ton effacement :
Le monde est-il ainsi, toutes choses minées ?
Climax, le Dimanche 22 Février 2015.
Dédicace :
Com carinho, saudade, lembrança, memória, fascínio e repúdio, com amor e raiva, com o olhar vagabundo e com os teus olhos no meu fitar, com o teu corpo que se desfaz no meu hoje em dia e cada dia que passa e com o teu fапtаsma que não consigo a ver, para C.J. S. G. de A.
"Avec ma tendresse, mon regret de toi, ma souvenance, ma mémoire, mon attirance et ma condamnation, avec mon amour et ma rage, avec mon regard vagabond et avec tes yeux qui demeurent dans mon regard fixe, avec ton corps qui se dissout dans le mien aujourd'hui et chaque jour qui passe et avec ton fantôme que je ne parviens pas à distinguer, pour C.J. S. G. de A."