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Les nouvelles violences morales (page 2) - Associations

Sujet de discussion : Les nouvelles violences morales
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 17 novembre 2013 à 23:25
    Situation à fuir au plus vite avant d'attraper la folie

  • jonathan84 Membre expérimenté
    jonathan84
    • 18 novembre 2013 à 01:45
    Oui; tout dépend de la ou les situations, mais je voulais montrer que la communication est quand même primordial, que ce soit au sеіп d'un couple, d'une famille, au boulot, à l'école...

    Tout à fait d'accord!
  • wickedjohn Membre occasionnel
    wickedjohn
    • 18 novembre 2013 à 14:01
    La je capte pas un truc ... le silence marque d'agressivite раssіvе ? non faut arrete ..

    apres je vois pas ou est la violence ?

    Je ne suis pas d'accord avec toi. Le silence peut totalement être une marque d'agressivité, et Deum a montré un bel exemple d'agressivité раssіvе directe. Il peut y en avoir d'autres : le refus de défendre une personne (agressivité раssіvе indirecte) en est un. De plus, même sans parole on émet une énorme quantité de comportements non-verbaux qui sont inconsciemment perçus par l'autre et qui peut laisser transparaître beaucoup d'émotions.

    Selon ce que j'ai appris on peut distinguer quatre types d'agressivité (active directe, active indirecte, раssіvе directe et раssіvе indirecte).
  • boobsy Membre confirmé
    boobsy
    • 19 novembre 2013 à 00:34
    Je me permets d'apporter mon grain de sel.

    Les manifestations neurovégétatives nous permettent de décrypter l'intention de la personne bien que ces manifestations ne soient pas contrôlées. Elles résument donc la pensée de la personne sans que cette dernière ne puisse empêcher ou déformer ses intentions.

    Cette technique d'échange est utilisée par tous inconsciemment et fait donc partie intégrante de nos moyens de communication.

    Et comme chaque mode de communication, bien que non parlé et très discret (d'ailleurs, on le remarque consciemment rarement), il possède son agressivité ou sa bienveillance.

    Je doute que le silence ne soit une forme d'agressivité, pour moi, le silence sans aucun signe neurovégétatif n'est rien d'autre qu'un silence qui peut paraître gênant, mais pas agressif.

    Encore une fois, à mes yeux, pour qu'un silence soit perçu comme hostile, il faut que les signes neurovégétatifs prêtant à ce "diagnostic" soient déclenchés : voix un peu moins agréable (bon, cet exemple ne va pas pour le thème), petit froncement des sourcils involontaire, etc.

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