Les poils : fétісhіsmе anodin ??? - Prévention & information sida

Bon, prenons un garçon ordinaire, sans mystère apparent, c'est-à-dire riche de son сhагmе et de sa gentillesse : je craque.

Prenons le même, revêtons-le de poils, élégamment, soigneusement, calmement, et admirons cette œuvre : la culture capillaire est le premier soin de beauté du mâle captivant.

Délectons-nous à la râpe du menton, ou à cette fausse sévérité des barbes plus fournies, de quoi nous mettre les yeux à la renverse.

Attardons-nous sur le frisottis ornant la poitrine, et son creux, et là ronronnons !!!

Prenons à rebrousse-poil la toison qui descend jusqu'au sехe, et parcourons les jambes qui se mettent à fluer et refluer au gré des poils, comme on naviguerait en mer !

Je vous le dis : il n'est de mâle, de somptueux matou que celui qui cultive ses poils, et fait de son corps une caresse permanente.

Mais, je prêche des convaincus, n'est-ce pas ?

A moins que vous n'ayez cette habitude barbare de réprimer votre toison et de l'exiger ratiboisée chez autrui, misère ?

Je n'exige rien, mais je n'aime pas les poils sur le torse.

Ah, Vinsang, le caractère glabre des torses te coûte bien des рlаіsігs, envisagés plus haut. Bon, les poils ne font pas le bonhomme, cependant, je trouve à cette couverture bien de la douceur, un air avantageusement mâle, comme une promesse du рlаіsіг.

Sans doute une allergie, comme on est allergique au gluten, sinon je ne conçois pas la chose.

Ou aurions-nous des fапtаsmеs différents concernant la virilité ?

Je voulais placer ceci dans la rubrique "Entre garçons", et la voici dans celle-ci : mille excuses à la modération, vraiment, mon curseur a dérapé bien malgré moi.

En réponse au message de climax69007 :

Ah, Vinsang, le caractère glabre des torses te coûte bien des рlаіsігs, envisagés plus haut.

Ou aurions-nous des fапtаsmеs différents concernant la virilité ?

Je sais, j'ai déjà essayé. Des fапtаsmеs différents, peut-être. J'aime bien quand il y a de la chair, et pas qu'un peu

Ah, je me vois bien déclarant à un beau garçon velu et juif, et néanmoins hоmоsехuеl, "Ton poil est un signe comme un buisson ardent", pas sûr qu'il apprécie cette comparaison empruntée à la Bible et mettant à contribution une des apparences de Yahweh, mais en lui susurrant tendrement, et en invoquant mon athéisme irréversible et ma grossièreté ne demandant qu'à être convertie - par la douceur -, j'ai toutes mes chances, ne croyez-vous pas ? Idem, avec un bel homme libanais, chrétien maronite, et néanmoins hоmоsехuеl pratiquant, auquel je dirais "Ton poil est un édredon comme la sainte barbe du Patriarche maronite", en le lui suggérant avec des yeux de gazelle ?



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Ah Vinsang, les poils ne font-ils pas, dans un contraste heureux, ressortir d'autant plus qu'ils sont abondants et épais la couleur et la vigueur de la chair, depuis le noir de l'ébène jusqu'au blanc du fromage en passant par le jaune de l'ivoire ???

Le poil est prometteur dessus le corps du mâle
De milliers de prouesses, et à l'ombre du noir
Taillis de ses forêts, il se module un râle
Comme un pressentiment de la splendeur à voir,

Toujours dissimulée par la ténèbre pâle
D'une chambre au Midi, que vient peupler le soir
De ma vie singulière, enrobée dans le châle
Du désir insurgé ; le poil est un miroir

Concentrant par l'espace les épaisseurs de l'être,
La tendresse infinie et les yeux renversés
Par la jоuіssапсе entière ; le poil fait disparaître

Sous la moiteur rebelle les défauts de la chair :
C'est la proclamation - tous les feux sont dressés ! -
Qu'un garçon est potable quand même il est amer !

Climax

Olé !

--- Avez-vous déjà pratiqué la position du fakir sur les poils hérissés de votre compagnon ?

--- Ou bien avez-vous pratiqué la position de la couverture sur son corps soyeux ?

--- Quel effet cela vous fait-il, éventuellement, de caresser une ligne de poils électrisés descendant doucement vers un nombril attendrissant ?

Allons, allons, épanchez-vous, des confessions, à moins que vous ne perdiez votre latin, entre des bras sous la couette, jusqu'à point d'heure, ce dimanche ?

Ah Cactus___ sss, bonjour (cela faisait longtemps qu'on ne s'était rencontrés), je suis un mille-feuilles,
- une couche de détresse dans un monde sans mon compagnon mort,
- une couche de désir de vivre,
- une couche de fапtаsmеs,
- une autre couche de chagrin à fleur de peau,
- une couche de garçons dans la gloire de leurs poils,
- une couche de passion pour les langues,
- et une couche de douce superficialité.

Je suis comme tout le monde : point monolithique. Un menhir, tout d'une pièce, c'est mort.

Donc, revenons à nos moutons : avez-vous déjà tenté de "faire subir les derniers outrages " au chat de la maison en le confondant, au petit matin, avec votre compagnon ?