L'expression "fermer le clapet" laisserait supposer que les partisans de l'homoparentalité aurait, qui pèserait sur eux, une interdiction de parole : il n'en est rien. Il y a des associations et des parlementaires асtіfs à ce propos. Nous ne sommes pas dans la République théocratique d'Iran, ou dans le royaume théocratique d'Arabie Saoudite, ou dans un État théocratique des États-Unis d'Amérique du Nord !!!
Mais je présume que cette expression "fermer le clapet" reflète ton impression très personnelle d'injustice et recouvre, peut-être, une impatience et une histoire personnelles douloureuses.
Ce qui importe est comment persuader les opposants à cette forme de famille, si ce n'est par des mots, du dialogue, en démontant leurs fапtаsmеs de détournement des enfants et de dommages psychologiques causés à ces enfants. Comme si toute famille était une "cellule" isolée et comme s'il n'y avait pas toujours un papy, une mamie, une tante, un oncle, un(e) enseignant(e) prêt(e) à porter l'image symbolique - nécessaire à l'enfant - du Père ou de la Mère !!!
En fait je crois que c'est toi qui, dans ta fougue, émet une généralité fausse, et qui voudrait clouer le bec aux opposants ; mais ça ne marche pas comme ça.
Nous ne pouvons pas faire violence à nos concitoyens, nous ne pouvons que les persuader que l'homoparentalité peut générer une forme de famille légitime, aimante pour les enfants, accueillante, respectable parce les êtres humains y sont respectés.
Et que les enfants y trouvent une configuration familiale différente de la famille nucléaire (un homme, une femme, des enfants) qui ne les perturbe pas : quel bonheur d'avoir des mamies ou des papys supérieurs en nombre à ceux des autres garçons ou filles !!!
Hein, ça pose à l'école : regard éberlué des copains qui plaignaient leur camarade d'avoir deux papas ou deux mamans et pas de maman ou de papa, et qui soudain s'aperçoivent qu'ils ont - les veinard(e)s - quatre mamys et quatre papys, entre autres !!!