Je meurs et je me perds dans les tétanisées
Souricières du cœur déserté ; mon cristal
De la rosée, grisaille, lueurs électrisées
Des blancheurs dépassées, horizon cardinal
Des сhаlеuгs dissipées : les lumières irisées
Sont ailleurs nulle part, il faut rechercher mal
Pour heurter un bonjour sur les sentes brisées
Sans but sans destinée, demeurer l'homme égal
Irradié par le blanc revenant et par l'autre
Inconnu invisible сhаuԁ comme un pain d'épeautre
Avec son goût d'ancien nouveau multiplié
Au passé au présent au futur, replié
Dans cette boule au ventre, mon centre indissoluble
Fracassé à ton visage, les larmes en fugue.
Climax007, le 8 septembre 2018.