Mon cher amour, mon petit orphelin bien aimé,
Dans quelques jours, je serais près de toi, je pourrais enfin sentir le frisson de ton âme. Voilà déjà plusieurs temps que nous nous sommes séparés. J’ai l’impression que ces moments de tristesses sont infinies. Les larmes de mon amour tombent chaque matin, et mon cœur laisse entrevoir qu’il pleur ta présence. Je suis une victime de ton сhагmе, et voilà déjà plus d’un an que nos cœurs se sont greffé l’un à l’autre. L’encre de ma plume coule, et je t’écris sans raison. Suis-je ivre ? Oui, ivre de ton amour, de ta beauté. Une ivresse que j’ai sus causer. Les mots se suivent dans mon esprit. Le vent souffle sur mon visage ; et je me souviens de ta peau si douce ; du touché adoré de tes mains. J’ai un regret ргоfопԁ de ne pas te rendre heureux ; de vivre loin de toi. Je voudrai déjà pouvoir te caresser, sentir l’odeur de ton corps si chaux. Près de toi, mes feux se raniment ; je me sens en sécurité ; mes peurs s’atténuent. Dans ce monde il y a au moins un homme heureux, qui connaît un bonheur inouï, c’est ce que je suis. Mes lèvres se souviennent encore de tes tendres et délicieux Ьаіsés. Mais, je suis attristé de voir cette image qui me reste gravé. Une blessure qui ne se refermera jamais. Malgré le temps passé, je t’aimerais toujours. Et je préfère fermer les yeux, et guérir en silence, par l’amour propre que tu me portes, afin d’apaiser mes peines. Laisse cette colombe, qui vole dans le ciel, prendre soin de nous et de notre éternel histoire d’amour.
L'homme qui ne cessera jamais de t'aimer