Lettre aux porteurs de poireaux à dégorger - Littérature & poésie

La discrétion, Monsieur, me fait violence.
De vous l'assener fort, je ne balance.

Il vous faut jouer au tгоu-madame,
Et, clandestin, être un cerf qui brame ?

Avoir le repassage assuré par Madame
Et dissimuler une hоmоsехuеllе âme ?

Faut-il vous la décrire avec constance :
La Ьапԁaison n'est pas la sous-traitance

D'un bâton commandé par l'esprit mécanique ;
Le vit n'est pas comme un levier automatique !

Le besoin de l'homme est le сâlіп soutenu,
Non pas le presque rien de votre élan ténu !

L'attention, au contraire, induit l'efflorescence,
Vous prendrez votre pied comme une autre naissance !



Climax007 !


PS : c'est de la simple horticulture, de bon aloi, si vous voulez pratiquer non le râpage d'épidermes mais le minimum humain vital, les sentiments frottés en commun, un peu, beaucoup...

Lol... Clicli dans toute sa splendeur... Avec ses poèmes сосhопs... ... Le revoilà...

"Poèmes сосhопs" ???

Évocation de processus physiologiques !
Invitation à la constance et non à se faire mettre une pique rapidos !
Appel à la tendresse !

Faudrait un peu fréquenter la littérature déjà classique de notre époque, en matière de stupres, fornications, descriptions de mâles en rut, sur fond sauvage et guerrier. Exemple plus que tripale :




Moi, en comparaison, et j'en ai honte, je ne donne que dans le petit et bas morceau, à peine coloré de sрегmе, couleur de grisaille et de passe-montagne, phrase gentillette et cadencée, à peine le style des petites polissonneries de nos écrivains du dix-septième siècle (toute révérence gardée), à peine un balbutiement s'ouvrant sur une огgіе entrevue de très loin, pas de quoi ameuter ni rameuter !

Bref, même le pape faux-сul pourrait me lire sans sourciller en zyeutant les beaux yeux bleus du dernier garde pontifical récemment admis à montrer ses parades viriles à Sa Sainte Pantoufle qui ne dort jamais que d'un oeil tout en bâillant hypocritement, car il faut que les apparences soient sauves.