L’euthanasie en question - Politique & Droits des homosexuels

Aujourd’hui, les progrès de la médecine permettent de maintenir artificiellement en vie des malades dans un état de coma ргоfопԁ. En même temps, devant l’allongement de la durée du 3ème, voire du 4ème âge, les gens revendiquent de plus en plus le droit de décider de leur mort, comme ils entendent décider de leur vie. L’intérêt pour la question de l’euthanasie va donc grandissant. On distingue entre l’euthanasie active, qui nécessite l’intervention d’une tierce personne pour accéder à la mort, et l’euthanasie раssіvе, qui s’apparente à un arrêt des traitements et des soins, ce que certains définissent comme un refus d’acharnement thérapeutique.

Des personnes avec une grande maladie veulent mourir, c'est leur droit et nous devrions l'accepter. Et l'aider à mourir, c'est ce que je pense. Mais il faut qu'ils le décident par lui-même.
Après pour les comas, je ne sais pas car c'est difficile de dire donner lui la mort surtout à une personne aimée et chère à nos coeurs.

Quand on aborde la question de l’euthanasie, on touche à un sujet sensible, presque tabou, que l’on évite. Que l’actualité ramène sur le devant de la scène un cas douloureux remettant en débat la législation sur l’euthanasie, on pense au jeune tétraplégique Vincent Humbert que sa mère a tenté d’aider à mourir, ou à l’ex-infirmière de Mantes-la-Jolie, Christine Malèvre, qui aurait « aidé » à mourir certains de se patients atteints d’une maladie grave en accélérant leur fin -, des voix s’élèvent, en particulier (...)

Et bien moi qui suis d'un certain âge je l,ai toujours dit à mes enfants que je ne veux en aucun cas avoir des traitements pour prolonger ma vie

c'est que le temps pour moi est venu de quitter cette vie

ils sont d,accord avec ma manière de penser

je ne veux pas que les compagnies pharmaceutique s'en mettent plein les poches sur mon cas

Y'a déjà eu un juset là-dessus y'a pas longtemps: Je vais pas répéter, je copie:

Vais pas me fatiquer a lire tous les posts. mon avis est fait: POUR!

ma grand mère, qui était une femme digne et coquette a passé les 3 dernière années de sa vie paraplégique. l'aide soignante a raconté qu'elle a pleuré la première fois qu'on l'a essuyée. Sans compter la torture que ce doit être de vivre prisonnier de son corps. ne rien pouvoir faire, ou exprimer.

Y'a des maladies qui ne peuvent être guéries, qui sont très douloureuses. De plus, honnêtement, il vient un moment ou guérir n'a aucun sens de toute façon, si la personne n'est plus capable de s'occuper d'elle-même, si elle a peu ou pas d'activité, si elle n'a plus d'énergie, la guérir (difficile, car le corps ne se défend plus tellement bien, le médoc est donc non pas une aide mais une assistance) ne fais que l'exposer à une nouvelle maladie qui ne tardera de toute façon pas a se déclarer.

Ca coute donc cher pour rien, et c'est pénible pour tout le monde, le malade et les proches (pour peu qu'il soient pas trop égoïstes). on ne laisse pas un сhіеп souffrir, alors pourquoi un humain n'aurait pas le droit de mourrir le moins malheureux possible? heureux, tant qu'àfaire

Des personnes avec une grande maladie veulent mourir, c'est leur droit et nous devrions l'accepter. Et l'aider à mourir, c'est ce que je pense. Mais il faut qu'ils le décident par lui-même.
Après pour les comas, je ne sais pas car c'est difficile de dire donner lui la mort surtout à une personne aimée et chère à nos coeurs.

D'accord avec toi, je suis absolument pour l'euthanasie dans ces mêmes conditions ! Je ne comprend que l'UMP ne l'ai pas encore accepté, sans doute un parti trop chrétien et trop conservateur, changeons de politique et de président ;) ^^