Lui donner la lettre ou pas (page 8) - Bisexualité & Hétérosexualité (forum bi / hétéro)

En réponse au message de draconis :

Même Papy Staline renonce, franchement si toute la gauche se fait piétiner par le méchant d'extrême droite que je suis, c'est perdu pour 2017 les gars :)

Oui, la ritournelle, cela fait des années que j'explique
à ce dragon que je suis trotskyste.

Non seulement tu caricatures, mais tu répètes
comme atteint d'Alzheimer, Drac, et ta caricature est
carrément une arme émoussée !

Ne confonds pas un forum et la vie sociale !

Maintenant, re-place au sujet !
SVP, merci !

En réponse au message de draconis :

Une thérapeute, au risque de paraître peu professionnelle, a le droit de ressentir des émotions, non ? Ou doit-elle être une machine qui ne fait que régurgiter un programme ? (un peu comme un prof qui vomit inlassablement son cours au tableau)

C'est, oui, justement en ressentant avec ses émotions, mais aussi avec ses concepts, mais principalement en étant un espace d'accueil pour contenir et comprendre le patient, qu'un(e) thérapeute n'est pas un(e) fumiste.

Mais ce n'est pas en se laissant agir par ce que l'on appelle
le contre-transfert (ce que ressent le/la thérapeute à l'énoncé
de la parole du patient) qu'il y a soin !

La parole de l'interprétation est utile, pour autant que
les problématiques personnelles du thérapeute
ne viennent pas s'emmêler avec la problématique,
déjà difficile à cerner, à distinguer, à faire évoluer
chez le patient !

Oui, bien sûr, un être ressentant accueille un autre être ressentant, mais le thérapeute n'est pas là pour se laisser manœuvrer par ses sentiments d'empathie ou d'antipathie !

Cela existe, mais si le thérapeute les énonce,
il COLLE à lui le patient par SON amour à lui
ou par SON désamour !!!

Et le patient entre en servitude de son thérapeute !!!

Voilà pourquoi, la thérapeute en question
n'est pas à recommander, d'après les indices
qui nous ont été livrés !!!

Donc une thérapeute selon toi doit être dénuée de tout sentiment d'empathie ?

En réponse au message de draconis :

Donc une thérapeute selon toi doit être dénuée de tout sentiment d'empathie ?

et c'est toi qui dit ça , tu en as vachement de l'empathie, !

Je ne suis pas psy :)

En réponse au message de draconis :

Donc une thérapeute selon toi doit être dénuée de tout sentiment d'empathie ?

Cette empathie, si elle est, n'a pas à être montrée, sauf cas extrême de perte de la force de vie chez un patient suicidaire, ou totalement dépourvu de narcissisme fondamental.

Il ne s'agit pas, en psychanalyse, de prescrire un modèle de vie mentale, mais, pour un thérapeute, de ne pas fixer à sa personne un patient en le séduisant par sa bonté, qui est cependant le moteur du métier de thérapeute, mais pas de l'interprétation dite au patient !!!

Voilà ce qu'un "psychopathe" a appris avec ses psychanalystes ! Pas mal non ??? La liberté !

En réponse au message de draconis :

Je ne suis pas psy :)

Moi, je suis patient averti !

Un psy doit être froid, détaché de tout sentiment humain et ... peu concerné par ce que lui raconte son patient... Je ferais un très bon psy :)

Draco :_" Oh...Je vois vous avez été violé très jeune...Et vous croyez réellement que toute personne, au courant, va prendre des gants et se montrer compréhensive devant vos échecs ? Le viol n'est pas suffisant pour excuser votre médiocrité !"
Le patient : _"Mais ... je ... j'ai été très perturbé par ce viol qui me hante toujours..."
Draco :_"tsss! tsss! Foutaise ! je n'ai pas, en tant que professionnel, en face de moi une victime, mais un parasite qui se cherche des excuses !"
Le patient : _"Vous le ... pensez vraiment Docteur ! ?"
Draco :_"Et comment ?! Cessez de pleurnicher comme une tafiole ! et assumez-vous enfin, nom de Dieu ! Vous aviez sûrement autant епvіе que le soit-disant violeur ! je suis un professionnel je sais de quoi je parle ! oh et puis fichez le camp! allez ouste hors de ma vue ! et n'oubliez pas les 50 EUR pour la consultation !

Ton esprit de caricature entrave la compréhension
de ce que j'ai tenté de t'expliquer,
à propos d'empathie, Draconis.

PLUS HAUT : je ne vais pas me répéter
pour un sourd volontaire !!!

C'est toujours plus expédient, moins fatigant
de caricaturer que de réfléchir
sur ce que t'explique un autre
averti en la matière qui nous occupe ici
- en raison de mon ехрéгіепсе de patient !


--- Dans ta caricature de séance expéditive,

il y a une erreur capitale, Draconis :

les patient(e)s violé(e)s parlent ainsi dans les feuilletons

mal faits, de leur viol, mais jamais en séance, individuelle

ou groupale ; ce n'est pas une comédie pour eux/elles ;

c'est grave, le traumatisme a été constitué

des mille répercussions intérieures d'un acte

qui a nié leur être physique, leur moi d'abord,

qui a fracassé leurs limites corporelles,

qui a mis à bas leur estime d'eux(elles)-mêmes,

et qui a réduit la sехualité à un domaine

dangereux et sans loi pour eux/elles ;

ils et elles souffrent et, même pire, ils/elles en viennent parfois

à se dire qu'ils/elles ont mérité d'être violé(e)s !!!

En réponse au message de sergeclimax69007 :

Ton esprit de caricature entrave la compréhension
de ce que j'ai tenté de t'expliquer,
à propos d'empathie, Draconis.

PLUS HAUT : je ne vais pas me répéter
pour un sourd volontaire !!!

C'est toujours plus expédient, moins fatigant
de caricaturer que de réfléchir
sur ce que t'explique un autre
averti en la matière qui nous occupe ici
- en raison de mon ехрéгіепсе de patient !


--- Dans ta caricature de séance expéditive,

il y a une erreur capitale, Draconis :

les patient(e)s violé(e)s parlent ainsi dans les feuilletons

mal faits, de leur viol, mais jamais en séance, individuelle

ou groupale ; ce n'est pas une comédie pour eux/elles ;

c'est grave, le traumatisme a été constitué

des mille répercussions intérieures d'un acte

qui a nié leur être physique, leur moi d'abord,

qui a fracassé leurs limites corporelles,

qui a mis à bas leur estime d'eux(elles)-mêmes,

et qui a réduit la sехualité à un domaine

dangereux et sans loi pour eux/elles ;

ils et elles souffrent et, même pire, ils/elles en viennent parfois

à se dire qu'ils/elles ont mérité d'être violé(e)s !!!

mais tu est un puis de réfflection Serge ! tu as toute mon estime, et peu d'homme l'on !