Phrases interrogatives et impératives peuvent être équivalentes, si je reprends mon exemple volontairement outrancier, (sans doute suis-je influencé par ma nouvelle égérie hyper-sехualisée Lady Gaga), tout dépend de qui prononce la phrase, toute phrase interrogative prononcée par un individu en position ԁоmіпапtе aura valeur d'une phrase impérative. Le message est donc le même, (dans certains cas)
J'ai donc RAISON et tu as TORT
Et comme tout réside dans la nuance que tu apportes toi-même, dans la phrase "Le message est donc le même. (dans certains cas)", je répète que ces deux phrases ne s'équivalent pas.
Mais cela, tu ne peux pas le comprendre, toi qui m'écris plus haut : "je ne suis pas très réceptif à un texte dont chaque mot est soigneusement sélectionné afin de générer une harmonie sonore."
Les nuances importent, et font que deux messages ne sont pas équivalents, quand bien même le but poursuivi par ces deux messages est le même.
En linguistique, pour sa théorie du signe, Ferdinand de Saussure distinguait le signifiant (la face sonore d'un mot ou d'une suite de mots), le signifié (la signification) et le référent (la réalité à laquelle se réfère un signifié).
Tu confonds le référent "se faire suc... la b..." avec les deux signifiés "Je veux que tu me s... la b..." et "Je t’ordonne de me suc.. la b...".
Je ne pensais pas qu'un jour, après avoir dit ma peine, j'en viendrai à devoir évoquer Ferdinand de Saussure, la théorie saussurienne du signe, pour l'appliquer à des exemples aussi crus, enfin c'est Ikki qui l'a voulu ainsi.
Mais comme Ikki n'a pas lu mon texte (voir plus haut son aveu), je suppose que, pour lui, vu son sens des nuances, que j'ai écrit ce texte ou que ce texte n'existe pas, comme il ne l'a pas lu, s'équivalent : c'est du pareil au même pour lui !
Maintenant, je ne vais pas jouer au ping-pong toute la soirée, bonsoir.