Madeleine - Musique & cinéma

"Madeleine" (1962)

De cette chanson plus populaire, Brel disait ceci;


"Madeleine, c'est pas un femme; Madeleine, c'est l'espoir; c'est la chose qu'on attend et qui n'arrive jamais.

Cette chanson, c'est l'histoire d'un gars qui attend quelque chose mais il ne se passe rien.

Je crois que dans la vie, si on attend et qu'on ne provoque pas les choses, rien ne se passe.
Rien ne vient jamais aux hommes."

(Brel 1962)

« Je crois que dans la vie, si on attend et qu'on ne provoque pas les choses, rien ne se passe. »
Ce n’est pas faute d’essayer ... pour Brel dans sa chanson !

Mais pour : « Rien ne viens jamais aux hommes » , pas d’accord ... sauf pour les timides ou ... les misogynes !!!

En réponse au message de didmic83 :

« Je crois que dans la vie, si on attend et qu'on ne provoque pas les choses, rien ne se passe. »
Ce n’est pas faute d’essayer ... pour Brel dans sa chanson !

Mais pour : « Rien ne viens jamais aux hommes » , pas d’accord ... sauf pour les timides ou ... les misogynes !!!

Comme quoi, même la perception des génies n'est sans doute pas infaillible.

Alors ... pauvres hommes !
Ça me fais penser à cette chanson :

Paroles de la chanson Pauvre Martin par Georges Brassens

Avec une bêche à l'épaule,
Avec, à la lèvre, un doux chant,
Avec, à la lèvre, un doux chant,
Avec, à l'âme, un grand courage,
Il s'en allait trimer aux champs!

Pauvre Martin, pauvre misère,
Creuse la terr', creuse le temps!

Pour gagner le pain de sa vie,
De l'aurore jusqu'au couchant,
De l'aurore jusqu'au couchant,
Il s'en allait bêcher la terre
En tous lieux, par tous les temps!

Pauvre Martin, pauvre misère,
Creuse la terr', creuse le temps!

Sans laisser voir, sur son visage,
Ni l'air jaloux ni l'air méchant,



Ni l'air jaloux ni l'air méchant,
Il retournait les champs des autres,
Toujours bêchant, toujours bêchant!

Pauvre Martin, pauvre misère,
Creuse la terr', creuse le temps!

Et quand la mort lui a fait signe
De labourer son dernier champ,
De labourer son dernier champ,
Il creusa lui-même sa tombe
En faisant vite, en se cachant...

Pauvre Martin, pauvre misère,
Creuse la terr', creuse le temps!

Il creusa lui-même sa tombe
En faisant vite, en se cachant,
En faisant vite, en se cachant,
Et s'y étendit sans rien dire
Pour ne pas déranger les gens...

Pauvre Martin, pauvre misère,
Dors sous la terr', dors sous le temps

Pas jusque là , quand même !

Beau texte aussi Didmi.

Dans le genre hétéro et fils de bonne famille , il y a mieux mais « faute de grives , on se contentera de merles » avec cette chanson d’Adamo : «  vous permettez , Monsieur , que j’emprunte votre fille ... »
C’était mieux ... AVANT !!!

Je ne voyais pas cette chanson dans ce sens mais ca marche aussi
pour l'autre texte c'est Brassens un autre poète

En réponse au message de pifou :

Je ne voyais pas cette chanson dans ce sens mais ca marche aussi
pour l'autre texte c'est Brassens un autre poète

Pifou, cette chanson peut être prise au premier degré; c'est d'ailleurs ainsi qu'elle a eu du succès mais Brel l'a juste un peu métaphorisé pour illustrer un sens général sur le manque de courage et d'initiative, l'inertie stérile des individus qui, de ce fait, mènent une vie fade.:)