Caricatural.
Ce n'est pas d'un plus haut niveau intellectuel et politique ԛ'un ado greviste.
Samy ce n'est pas parce que tu es gay, que tu dois racontrer ce genre de conneries.
A bon entendeur.
Premièrement je ne suis pas un gay, c j'ai parler sur les juif vous m'accusée d' Antisémitisme, j'ai parlé sur quelques idées des islamistes et malgré que je suis un musellement Algérien, et ce que tu appel des conneries tu est loin de la réalité ma fille. Les islamistes peuvent-ils gouverner ? C'est la question qui se pose aujourd'hui dans le monde arabe et, en face, en Occident. Un bon débat avant-hier soir sur El Jazeera. On y retrouve, en formule, ce que l'on sait : les islamistes sont bons en opposition, mais on ne sait rien de leur compétence en gouvernance. L'obsession du Pouvoir est si vive dans ce camp idéologique que l'on se demande que pourrait faire cette famille idéologique, lorsqu'elle aura le volant en main. La compétence en idéologie et en discours religieux, moralisateur et populiste, est bonne pour recruter des électeurs «arabes», enfin libres de choisir, plus ou moins, mais ne se mange pas, ne se boit pas et ne remplit pas l'assiette. La fatwa ne fabrique pas du pain, le prêche religieux n'est pas la récolte et les ablutions ne sont pas des bilans. Du coup, on se reprend à penser à une possibilité : celle enfin donnée aux électeurs «arabes» de liquider une illusion majeure de notre époque post-décolonisation. Celle du «L'islam est la solution» selon le fameux slogan des Frères musulmans en Egypte. Peut-être, et on l'espère, dans un an ou deux, les électeurs comprendront que les islamistes n'ont pas de formules miracles, qu'il ont un capital «moral» qui permet de construire un ordre «moral», au sеіп d'Etats arabes corrompus, mais que cela n'est pas l'économie, la plus-value, l'entreprise et l'enrichissement.
Les grands textes fondateurs de ce courant datent de quelques siècles, son corpus d'interprétations et de hadiths est douteux et inadaptés, ses idées proviennent de courants démodés. Il ne peut pas, en vérité, faire mieux et enjamber les quelques siècles qui séparent ses idées de ses nouvelles obligations.