Me voici, la Рuсеllе, je suis la mortifère
Quand je m'écrie "Montjoie !" en clouant l'étranger,
Le сігсопсіs perfide qui nous vient vепԁanger
Nos Phynances et nos femmes, et je le boute en terre
Ranimée de mes cendres par les cris dans la sphère
De l’anobli de Souche, par l'ancienne amitié
- J'en ai les sеіпs percés ! -, par l'électricité
De mon bouillonnement, de ma passion guerrière.
La patrie emportée au creux de mes boyaux,
Ma descente sur terre est un hélicoptère
Fauchant comme un fléau l'ennemi viscéral,
Attila - comparé - fait de maigres copeaux
Avec ses tourniquets de hache et de tarière,
Moi, le sang me rougit, c'est là mon bain lustral.
Climax69007.