C'est bien là le plus grand danger et le plus grand vecteur de contamination: la politique de l'autruche.
Tout ce qui lutte contre la méconaissance de son état sérologique est bon à prendre et c'est donc une très bonne initiative.
Personnelement, je suis allée en CeGIDD (Centre Gratuit d'Information, de Dépistage et de Diagnostic, ex-CDAG).
C'est anonyme si on le désire et sans rendez vous (avec l'attente qui va avec).
Entretien avec un toubib, prise de sang et prélévement Ьuсаl par l'infirmière et апаl par soi-même aux toilettes.
Deux semaines plus tard, j'y suis retournée pour les résultats et ras.
C'est une façon de faire mais je trouve que la praticité de la méthode dont on parle maintenant est un avantage.
Le faire de chez soi et ne pas perdre de temps en déplacement et en salle d'attente, c'est cool.
D'un autre coté, le fait de parler à un médecin est un avantage quand on se rend dans un CeGIDD.
Je pense surtout aux jeunes qui débutent dans leur vie sехuеllе et qui ont à ce moment là des conseils personnalisés.
D'une façon ou d'une autre, il faut se faire dépister si on veut faire l'amour dans la générosité de l'acte et non dans celle de la transmission…