Allongées dans l'herbe, toi contre moi,
mon cœur s'emballe et palpite, empli d'émoi.
Le vent du printemps joue dans tes cheveux,
l'or du soleil se reflète dans tes yeux.
Je regarde furtivement les courbes de ton corps
alangui contre le mien, mon désir se fait plus fort.
Mes yeux dévorent ta peau si douce
j'ose une caresse, craignant que tu repousse
cette main fébrile, brûlante du désir
de te caresser et te combler de рlаіsіг.
Mais tu tourne lentement la tête,
ton parfum m'enivre, m'entête
Tes ԁоіgts jouent avec mes boucles blondes,
et, pour moi, plus rien n'existe au monde,
que tes mots doux susurés à mon oreille
ces phrases magiques qui m'emmerveillent
Mes lèvres remontent lentement le long de ton cou,
ton souffle s'affole, mon cœur soudain devient fou.
Et quand enfin se rejoignent nos Воuсhеs,
Ô mon amour, c'est le ciel que je touche...