Recyclons le texte "Aux trolls & Co., qui veulent l'être, trolls !",
et faisons-le un pur poème d'amour !
Pourquoi donc les chagrins, pourquoi donc les poinçons
Me perforant en douce, me traversant le cœur ?
Comme je suis atteint, alors que ma douceur
S'en est allée au loin, vers d'étranges unissons
De tombes ensoleillées ! Et quels sont les suçons
Me clouant du néant, le raffiné labeur
De la mort esseulée éteignant la lueur
Innocente et rétive de mon gars, mes frissons
N'ayant plus raison d'être ? J'aimerais te bercer,
Mon garçon qui sera, j'aimerais t'amorcer
Dans la chair de ton âme, j'aimerais t'engloutir
Sous mes lèvres en déluge, te saisir et pétrir
De nos corps alliés, et tracer le sillon
De l'infinie passion : être ta condition.
Sergeclimax69007.