Le monde du confinement me hurle que aujourdh ui j'ai le droit d'aller chez les petits commerçants, qu'il faudrait que je vautre dans mon rapport à la consommation, que je sois heureuse d'avoir enfin la liberté d'aller chez ma libraire, et éventuellement de m'offrir des роmреs histoire de compenser , histoire de me rassurer parce que encore pour l'instant je suis du bon côté
Une angoisse sous jacente est la, durant le premeir confinement je suis passée par le privé pour me soigner, je ne voulais pas attendre
Mais demain aurais je le choix, n'apparteindraiw je pas a cette classe sociale qui peut se soigner , je sais que oui
Et pourtant quelque chose en moi se révolte, quelque chose n'accepte pas ce monde qui met à l 'étroit, qui ne permet plus de se mélanger, qui simplifie , qui etc etc
Je suis hors sujet mais ce week end encore confiné, me rend chose