En réponse au message de sim.s-heart :
Je pensais que ce topic aurait été lancé dès les premiers instants de sa nomination mais j'vois que non donc je l'fais!!!
Il est jeune, il est beau et... Homo. ?
Bref. Sérieusement, je n'irai pas jusqu'à dire que j'm'en réjouis car je ne pense pas qu'il va renverser la table mais l'arrivée de Gabriel Attal à matignon pourrait être, suivant ce qu'il fera, une bonne chose pour l'avancement de nos droits ou au moins pour l'acceptation de notre différence.
Né le 16 mars 1989 à Clamart, c'est un homme d'État français. Il est Premier ministre depuis le 9 janvier 2024. Militant au Parti socialiste de 2006 à 2016 (peut-être en a-t-il concervé l'humanité ?), il est membre du cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine de 2012 à 2017, ainsi que conseiller municipal de Vanves depuis 2014.
Sans étaler sa vie privée car il y tient mais ouvertement "d'la paroisse", notrenouveau premier ministre a toujours considéré qu'on pouvait l'assumer sans le revendiquer. “Je me demande si le porter comme une bannière ne contribuerait pas à en faire un truc anormal”, conclut-il.
Il semble posé et il est décrit comme compétent. En tout cas, quand on l’a eu comme ministre (budget) il faut bien admettre qu’il était bien plus à l’écoute que son prédécesseur Dussopt qui nous a véritablement méprisés (et il paraît que c’est pareil avec tout le monde) et a fait du mal à la fonction publique.
Quant à son successeur, il a entamé son mandat en voulant faire « le ménage dans la corruption » au sеіп de notre métier, comme s’il était de notoriété publique que les douaniers étaient un ramassis de ripoux, alors qu’on est super contrôlés. Autant vous dire qu’on a pas mis longtemps à le mettre dans le même panier que Dussopt, celui-là.
Il est respecté par ses adversaires, même par les extrémistes, ce qui promet au moins des débats politiques plus engageants que les noms d’oiseau par réseaux interposés. Et peut-être pourra t on éviter des scenarii affligeants qu’on a pu connaître a l’assemblée nationale sous cette seconde mandature Macron.
Reste à savoir à quel point il saura s’imposer face à un méga-président qui veut tout décider et tout garder sous contrôle. Car on peut critiquer les méthodes d’Élisabeth Borné, elle n’a jamais rien fait d’autre que suivre la feuille de route qui lui était imposée, même contre ses convictions.