Comme la nuit tombe
le jour,en cette saison,
comme, un violeur qui prends la fuite
s"évade sous l'horizon.
il semble O soleil de rome
de l'inde au et du pantheron que quand la nuit vient de l'homme
visiter le cabaron,
tu ne veut pas qu'ont te voie,
et tu crains d'étre pris
en flangrant délit de joie
par la géoliere au front gris
pour les heureux en démences
l'aprés hiver n"a point d'éffroi,
mais il jette un crépe immense
sur celui, qui comme moi
réveur,saignant,inflexible
souffrant d'un stoique ennui
sentant la Ьоuсhе invisible,
et sombre souffler sur lui,
montant des effets,aux causes,
seul étranger en tout lieux
refusié dans les choses
ou l'ont sent palpiter dieu,
de tous les biens qu'un jour fane
et dont rit le sage amer,
n'ayant plus une cabane
au bord de la grande mer
songe,assis,dans l'embrasure,
se console en s'aliment,
et,pensif,à sa masure
ajoute le firmament !
pour cette homme en chaumiére
c'est une amére douleur
que l'adieu de la lumiére,
et le départ d'une fleur,
c'est un chacun quand moroses,
les rayons dans les vallons
s'éclipsent,et quand les roses
disent :nous nous en allons
victor hugo