O. est un étonnement sillonnant un visage
Comme deux ronds de flan ; la lune est en son plein
Dans l'arrondissement, montrant son paysage,
L'autre face ocсultée ; c'est un curieux dessеіп
Que le discernement causant le grand ravage
Des dissimulations, car l'ébahissement
N'aurait plus de saison, et cet épuisement
Nous donnerait l'ennui ; nous faut-il un gobage
Des vérités douteuses et des vrais ossifiés
Et que nous poursuivions sur les sentes connues
Car, la Ьоuсhе arrondie, nos mots n'ont pas de fins,
Sur la Planète ronde, les manteaux pétrifiés
Replongent aux magmas les terres dévolues
Aux cycles des matières sans rassasier leur faim ?
Climax69007.