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On ne choisit pas sa destinée - Littérature & poésie

Sujet de discussion : On ne choisit pas sa destinée
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 4 mars 2019 à 15:28
    Les rimes féminines des quatrains elles-même ne peuvent pas rester muettes...

    Chéri, sans un Adieu, pourquoi m'as-tu quitté?
    Insomnie et réveil matinal: je ne me
    Reconnais plus!... mоп согрs si douloureux qui se
    Meut, seul un mot résonne, atroce: éternité!...

    Hurler, ou bien crier face à l'adversité,
    Priant pour te garder encore un peu, je ne
    Te cache plus mes pleurs. Pour toi fallait-il que
    L'espoir doive chasser toujours l'absurdité?...

    Face à ce désespoir, j'apportais mon courage,
    t'amusais par l'humour, combattais avec rage,
    Pour t'aider à survivre, ou te perdre à jamais!...

    Et dans un fol espoir, à l'aube de ta vie,
    Cher, doux et tendre coeur, belle âme que j'aimais,
    De gésir à ta place était ma seule епvіе...
  • vie_en_poesie Membre expérimenté
    vie_en_poesie
    • 4 mars 2019 à 16:03
    Cher Alain,

    Jouons sur les deux sens du verbe gésir.

    gésir, c'est un mort couché, étendu par terre (ci-gît !)
    ou
    gésir, c'est s'étendre auprès de son bien-aimé.

    Un vieux monde mort qui s'en va pour un nouveau rempli de promesses et d'amour.

    Quelle belle destinée !

    Bonne journée.
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 4 mars 2019 à 16:07
    En réponse au message de vie_en_poesie :

    Cher Alain,

    Jouons sur les deux sens du verbe gésir.

    gésir, c'est s'étendre auprès de son bien-aimé,
    gésir, c'est un mort couché, étendu par terre (ci-gît !).

    Un vieux monde mort qui s'en va pour un nouveau rempli de promesses et d'amour.

    Bonne journée.

    dans le poème c'est de mourir à sa place tu vois le seul sens est celui que tu n'as pas ressenti!
  • vie_en_poesie Membre expérimenté
    vie_en_poesie
    • 4 mars 2019 à 16:13
    Oui Alain,

    j'ai relu ton poème et j'y ai trouvé le sens que tu lui donnes. Mon imagination tournée vers mon beau Jérémy m'a encore une fois trompée.

    Mais reconnaissons la beauté du mot "gésir" dans le fait qu'il porte 2 sens, comme celle du mot "encore" dans un de tes poèmes précédents dont l'orthographe admet la lettre "e" à la fin ou non.

    Notre belle langue française...

    Bisous.
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 4 mars 2019 à 17:18
    En réponse au message de vie_en_poesie :

    Oui Alain,

    j'ai relu ton poème et j'y ai trouvé le sens que tu lui donnes. Mon imagination tournée vers mon beau Jérémy m'a encore une fois trompée.

    Mais reconnaissons la beauté du mot "gésir" dans le fait qu'il porte 2 sens, comme celle du mot "encore" dans un de tes poèmes précédents dont l'orthographe admet la lettre "e" à la fin ou non.

    Notre belle langue française...

    Bisous.

    Tu vois toujours dans mes poèmes des allusions à ta vie privée. Alors qu'il expriment le ressenti des émotions ou des désespoirs vécus dans ma vie..;
    Je ne viens pas d'écrire ce poème qui date de l'époque où j'ai moi aussi eu un amour emporté par une grave maladie!...

    notre belle langue française est la seule qui possède l'expression de la versification classique qui met les mots en musique dont elle assure le rythme pour chanter ou pleurer.
    C'est le désespoir exprimé dans ce poème!
  • vie_en_poesie Membre expérimenté
    vie_en_poesie
    • 4 mars 2019 à 17:37
    Oui cher Alain,

    Je vais exercer mon sens de l'empathie à travers tes prochains poèmes et ne pas être centré sur moi.

    "Gésir à ta place" : c'était portant écrit très clairement dans ton poème, mais j'ai pensé à ouvrir mon dictionnaire pour contempler ce beau verbe "gésir".

    Nous terminons notre discussion là cher Alain et prends note de tes remarques.

    Bisous.
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 4 mars 2019 à 17:56
    En réponse au message de vie_en_poesie :

    Oui cher Alain,

    Je vais exercer mon sens de l'empathie à travers tes prochains poèmes et ne pas être centré sur moi.

    "Gésir à ta place" : c'était portant écrit très clairement dans ton poème, mais j'ai pensé à ouvrir mon dictionnaire pour contempler ce beau verbe "gésir".

    Nous terminons notre discussion là cher Alain et prends note de tes remarques.

    Bisous.

    bisous alors, car chacun à pu avoir aimé ou perdu son Jérémy!
    Et vouloir mourir à sa place!

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