Sujet de discussion : Où chercher mon ami, dans les vagues marines
sergeclimax69007
Membre suprême
24 mai 2015 à 04:06
Certes, une version de ce texte a déjà été mise sur ce site. Mais j'estime nécessaire de mettre à disposition le texte révisé, dans un sujet indépendant du sujet primitif.
En effet, certains individus ont trouvé bon de le parasiter, c'est-à-dire d'occuper de manière incivile l'espace, non pour une critique consistante et argumentée : l'un pour m'ordonner de cesser avec cette thématique (je pouvais y penser mais point communiquer ma pensée !!!) ; l'autre pour me trouver nul car je ne comprendrais pas ce que certains appellent le "second degré", le prétendu humour qui est pour certains la couverture de leur grande impudence ; le troisième pour me qualifier de "sectaire", de "suffisant", de "paranoïaque" et m'assimiler - excusez du peu ! - à un nazi génocidaire (parce que j'appelle un "Troll" un parasite comme les nazis exterminateurs appelaient les Juifs des parasites, on voit l'honnêteté de l'argumentation) mais aussi pour me déclarer un admirateur de Staline et de Kim-il-Sung réunis.
Je remets, donc, ce texte en circulation sous une forme révisée amplement.
Un des buts de la rubrique "Littérature" est de permettre des critiques à ce qu'un membre de Ton Gay soumet au public ; cependant, l'exécution capitale et les attaques personnelles ne font pas partie à l'ordinaire du programme, mais l'impudence, dernièrement, en a fait un exercice très couru, à qui va surenchérir sur le précédent amateur de parasitage en matière de mots malsonnants n'ayant aucun rapport avec le texte.
Où chercher mon ami, dans les vagues marines ? Où va-t-il s'enrouler dessous le poids du temps ? Aurait-il désarmé, mon charmant combattant ? M'aurait-il effleuré, en crachins et pluies fines ?
Où trouver mon ami, en chevauchant les plaines ? Mais où le rencontrer, quand verdit le printemps ? A-t-il franchi les brumes, touché le firmament ? Où est mon souverain, celui qui tient mes peines ?
Où rencontrer mon âme, dans quel lieu assurant Une place affermie, quelle brume enserrant Ma peau de citronnier ? Où est son enfantine
Parole d'amour pleine, vers quelle diamantine Mer de Paille étoilée a-t-il droit de cité ? Sur quelle terre ambrée est-il ressuscité ?
Climax69007, le Dimanche 24 Mai 2015.
Je ne peux que dire ma dette, une nouvelle fois, à Martim Codax pour les vagues marines s'alliant au thème de l'"Ubi sunt" ("Où sont-ils"?), ce qu'il a développé dans un cycle de poèmes qui est une merveille de la lyrique galaïco-portugaise (du treizième siècle) ; mais aussi pour la peau de citronnier, à Federico García Lorca, sans doute le plus puissant poète espagnol du vingtième siècle, hоmоsехuеl trucidé par les fascistes franquistes.
Chanté par Dulce Pontes, Martim Codax :
"Ondas do mar de Vigo", avec le texte en surimpression :
Ainsi que je l'ai déjà formulé, ailleurs :
les écrits ont cette qualité qu'ils jugent leurs auteurs ;
cela vaut pour moi, bien entendu, mais aussi
pour ceux qui trouveront, ou pas, l'art
et la manière de critiquer ce texte.
cactus_sss
Membre suprême
24 mai 2015 à 10:34
M'aurait-il effleuré, en crachins et pluies fines ?
M'aurait-il effleuré, en crachins de sрегmе et ріssеs fines ?
yoomy
Membre suprême
24 mai 2015 à 15:02
Ouh, c'est grivois x
sergeclimax69007
Membre suprême
25 mai 2015 à 11:27
En réponse au message de cactus_sss :
M'aurait-il effleuré, en crachins et pluies fines ?
M'aurait-il effleuré, en crachins de sрегmе et ріssеs fines ?
Cactus, tu n'es ni spirituel, ni grivois ; ton seul рlаіsіг est de parasiter (oui, je persiste dans ce verbe qui est le verbe exact, adéquat, approprié) un sujet, de le rabaisser, et ainsi de lui nuire.
Et ce qui était un texte ému devient ainsi l'objet d'un avilissement.
Es-tu seulement capable de distinguer des niveaux de pensée, des moments où il serait bon de te contenir ?
As-tu la notion que des sujets sont mis, là, non pour être l'objet d'une dérision de mauvais goût
Quand à ton acolyte, Rebel Heart, il ne fait que mettre en action un processus psychologique des plus communs, la projection, en m'attribuant une éventuelle aversion envers ce qui serait "grivois".
Par ailleurs, je récuse le terme "grivois", c'est sсаtоlogique, et du niveau des plaisanteries d'enfants attardés.
Les enfants adorent parler "pipi" et "caca", au moins ça les fait rire : vous deux, vous ne riez pas, votre seule volonté est de nuire et de salir un texte.
cactus_sss
Membre suprême
25 mai 2015 à 11:40
Ne suis-je définitivement pas poète ?
sergeclimax69007
Membre suprême
25 mai 2015 à 11:45
En réponse au message de cactus_sss :
Ne suis-je définitivement pas poète ?
Tu es un indécent définitif. Un être insensible, et fier de son insensibilité. Tu fais un concours avec tes petits camarades, à qui lâchera la plus grasse, la plus choquante, la plus vile aussi.
Ce n'est pas du "trollage", le lutin étant plutôt aimable, c'est du parasitage : tu provoques, et fais se détourner un sujet.
C'est la pratique systématique de l'avilissement des sujets.
yoomy
Membre suprême
25 mai 2015 à 15:19
En réponse au message de climax69007 :
Quand à ton acolyte, Rebel Heart, il ne fait que mettre en action un processus psychologique des plus communs, la projection, en m'attribuant une éventuelle aversion envers ce qui serait "grivois".
PARANOÏA ALERT
Le "grivois" était adressé à Cactus. Tu sais très bien que je ne dispose pas des faсultés nécessaires me permettant de projeter sur toi une caractéristique quelconque. De plus, je ne suis l'acolyte que de moi-même.
Bien cordialement xox
Pas encore inscrit(e) ? Créez votre profil en quelques clics seulement et profitez !