GayLib condamne dans un communiqué "l’attitude des maires qui répugnent à ouvrir leurs mairies aux pacsés souvent au prétexte que les élus locaux comme la population ne seraient 'pas encore prêts'".
Et pourtant quand la peine de mort a été supprimée en France, on dit toujours que si c'est le peuple qui avait voté, il n'aurait pas été prêt, puisqu'il aurait voté contre sa suppression. Encore un argument lâche qui sonne comme une ritournelle constante depuis des décennies, et sur plusieurs sujets : "on ne peut pas parce que...", et même si c'était vrai, je croyais que les politiques étaient non seulement des représentants, mais des personnes qui avaient un certain courage ! Même si Mamère ne s'y ait pas bien pris, selon mon sens de juriste, il y a essayé.
Christelle