Et je me vois en cage,
Avec pour seuls mirages,
Cette douce mélancolie
Qui me happe et me plie.
Mais sur les chemins de l'errance,
Il demeure l'espérance,
Je ne connais d'Homme,
Qui ne s'y abandonne !
Alors voici que j'entends
Le chant du printemps,
Mes sourires reviennent
Car si mon coeur est en peine,
Mes amis me la prenne
Et ils m'emmènent,
Loin de ces barreaux
Que forment mes maux ....
Je me suis permise, il me semblait que tu avais oublié la fin à ton joli poème !!