Elles sont là.
Si proches pourtant si éloignées,
On voudrait les toucher, les attraper, les posséder
Mais elles nous échappent comme l’eau aux reflets d’ivoires,
Qui se mouvoient entre nos ԁоіgts fins.
Elles volent,
Elles brillent dans un néant, dansant entre les couleurs éteintes
Sans que nos sens ne les voient.
Elles se fondent
Au cœur de ce milieu mort,
Étreignant toutes les lois et ses dispersèrent en une lueur d’infinie beauté.
Elles disparaissent
Quand le temps change et que les voiles se ferment, dans un bleu azur,
En un reflet transparent, remplacé par une lumière vive.
Elles reviennent
Alors que la nuit tombe, sur un peuple encore désireux,
Attendant avec patience le retour de leur espoir lumineux.
Les étoiles sont là
Lorsque le ballet étincelant recommence,
Tout en allumant le feu au creux de mon cœur
Qui désespérait de s’évanouir à jamais.