POUR VOUS ACCUEILLIR?...
Si, pour vous recevoir, tout au moins comme il sied,
Il faut, à l'intérieur prévoir que je restaure
En isolant les murs, sons oublier les stores,
Peintures de cloisons et des plinthes aux pieds.
Mes arbres attendaient afin d'être sciés
Dans les jardins en friche. Une rigueur j'instaure
Sur gazons envahis par l'ortie en pléthore...
Encore eut-il fallu qu'ici vous y fussiez,
Pour mesurer l'effort déployé pour vous plaire.
Le temps semble compté faut-il que j'accélère?
Mes forces cependant, sous l'outrage des ans
Ne sont plus désormais suffisantes sans aide,
Vous excuserez donc, si de vous tous j'attends
Que la vigueur des bras y supplée en remède!...
MERCI!