"Povo que lavas no rio" - Un Fado qui révèle ! - Musique & cinéma

Ce grand fado a eu des interprètes du plus grand talent : c'est une sorte de pierre de touche, éprouvant la sincérité avec laquelle le chant émane du ou de la fadiste.

Comme je l'ai souvent exprimé, toute inauthenticité apparaît très vite dans le Fado, et dénonce l'interprète coupable de distraction et de superficialité comme quelqu'un(e) qui ferait mieux de s'adonner à la musique de variété, c'est-à-dire à la musique de remplissage commerciale des espaces sonores citadins.

Ce sont là des interprétations qui sont moins dans l'esprit du Fado, moins intériorisées, mais un António Variações, artiste hоmоsехuеl, dans un Portugal souvent machiste, en fait une version sensible ; et le chœur d'étudiants est estimable.

Et Sofia Barbosa et Joana Melo, si elles ne me provoquent pas le grand frisson, ne sont pas moins à la hauteur, elles m'émeuvent ! Et pourquoi bouder mon рlаіsіг, ces deux chanteuses ont, certes, de la classe ! Et il s'agit là de chanteuses de la "Operação Triunfo", la "Star Académie" portugaise !

En règle générale, j'ai un faible pour les chœurs.
Je découvre les étudiants de Tuist et je les trouve sublime. Merci pour ce beau partage.

En règle générale, j'ai un faible pour les chœurs.
Je découvre les étudiants de Tuist et je les trouve sublime. Merci pour ce beau partage.

Oui, tenir sa part de partition, l'accord, le partage, l'unisson caractérisent les chœurs : ce n'est pas facile. L'on ne peut que saluer le travail ; et ces chœurs masculins sont beaux (à tous les points de vue).