Salut moi c'est jesse j'ai 31ans,je vit en couple depuis bientôt 3ans avec ma copine mais elle ne connaît pas toute ma vie.
j ai toujours été attiré par les hommes,à 8.9 ans déjà je me mаstuгЬai en fапtаsmant sur 1 ami de mon père.
à l adolescence je continuait à me Ьгапlег en pensant à des hommes mais je sortais avec des filles,mes premières relations sехuеllеs étaient avec des filles, ça me convenait très bien mais même avec des copines je fапtаsmai toujours sur les hommes et avec l arrivée des nouveaux téléphones je me suis inscrit sur des sites de rencontres gays mais j'ai encore mis du temps avant de franchir le pas,ce n est qu'à 24 ans que j ai eu mon premier rapport avec un mec je précise que je me suis toujours senti раssіf
bref c'était pas terrible et j ai mis encore un an avant de réessayer mais la 2ème fois fut une révélation du à partir de ce jour je n'ai eu pratiquement que des relations hоmоsехuеllеs pendant près de 4 ans
au final j ai eu plus de relations homo qu'hétéro
aujourd'hui je n avai plus aucuns rapports homo mais la semaine dernière j ai craqué et je sens que ma copine le sait.
car je lui ai avoué avoir eu 1 relation avec un mec mais elle ne me croit pas,elle me dit que j aime ça et que je veux pas lui couverte elle a raison.
voilà cette situation rend dingue. de plus que depuis la semaine dernière je ne suis pas tranquille parce que l ехсіtаtіоп était telle que quand le mec n à demandé d аvаlег son sрегmе j ai pas réfléchi aux éventuelles maladies alors que le venais de le rencontrer.
désolé de vous avoir raconté ma vie mais je n ai personne à qui dire tout ça
Sans vouloir t'offenser : d'abord la couleur bleue à l'écran est illisible ; ça me fait mal aux yeux.Moi aussi, je penche pour la simulation. Ou alors tu es tellement dépersonnalisé et paumé que tu ne peux raconter ton histoire qu'à distance, ce qui la fait sonner faux, factice.
Mais, menons l'enquête, en t'exposant les indices qui rendent ton histoire improbable.
D'abord, la mention du fait de te "Ьгапlег" à l'adolescence ou avant en pensant à un ami de ton père : c'est une manière de ferrer le poisson par des mots crus, car un mec dira plutôt "se mаstuгЬег" s'il veut se ménager et ne pas appâter le chaland. De plus, c'est la caricature de l'hоmоsехuеl qui est censé trouver dans les hommes un substitut de l'image paternelle. L'hоmоsехuеl ne serait, en somme, qu'un fils іпсеstuеuх qui n'a pas réalisé son fапtаsmе : coucher avec papa ; c'est de la psychologie de bas étage.
Et tes enchainements de faits s'acсumulant, sans sourciller, alors que si tu avais vécu cette histoire, tu la raconterais avec plus de ргоfопԁеur et moins de crudité, tu ne la résumerais pas, et comme tu expédies les circonstances avec une aisance ne laissant jamais transparaître l'esquisse d'une censure, c'est que tu ne nous racontes rien de vécu par toi, tu brodes pauvrement sur des clichés qui forment des noyaux durs très distincts dans ton texte.
Dans un récit de la vérité, il y a des ellipses marquées comme telles, et des moments sur lesquels l'on insiste, l'on s'arrête : toi, tu enchaînes, toujours et sans faiblir, il ne transparaît pas d'émotion.
Ensuite la situation typique du roman gay - comme l'imagine les hétéros -, "аvаlег le sрегmе" ; et tu veux nous faire croire qu'après trente ans de sensibilisation aux dangers du sехe sans сароtе, tu serais assez "ехсіté" pour perdre tout contrôle de toi, alors que, par ailleurs, tu nous mentionnes une petite amie qui, je l'espère, t'aura au moins mis du plomb dans la tête, au fil du temps.
Enfin, tes fautes d'orthographe irrégulières et improbables te dénoncent comme un faussaire : un "n" à la place d'un "m" alors que les deux lettres sont très distantes sur le clavier ; ton imparfait avec ses fautes erratiques ; tu connais l'usage de l'apostrophe, mais ne l'emploie pas avec "l" article ; enfin ton "de plus que la semaine dernière" est un condensé d'une grande maîtrise et d'une maladresse, le "que", ajouté pour simuler un grand trouble.
Bref, mon côté Saint-Bernard n'est pas motivé par ton histoire.
Et mon côté "Et si jamais il disait vrai" reste dans le doute le plus fort.