Rien que pour le рlапage sublime des chevaux courant - qui en fait ont un trot très particulier qui, décomposé, donne des appuis en avant et en arrière n'engageant qu'une des deux pattes de devant ou de derrières -, j'aimais aller voir des courses à Châteaubriant, en Loire Atlantique (44). Oui, en vacances.
Percevoir le frémissement des chevaux, voir le luisant de leur robe, les entendre souffler des deux naseaux, faire les beaux avant la course, lors de la présentation aux parieurs et spectateurs.
J'ai joué, j'ai toujours perdu, je trouve gentil que Bi nous fasse part de son intérêt pour les chevaux : cet intérêt demande tellement de constance, de patience, de finesse, d'esprit comparatif et d'efforts de mémoire que j'admire !