Tu sais mieux que moi que "Pôle Emploi" est le produit de la démolition, par Srakozy et sa Ьапԁе, de deux institution séparée, qui marchaient dans la mesure de leurs moyens, ceci en vue de "rendre actives les dépenses раssіvеs liées au chômage" (je reproduis le discours officiel), d'une part, l'Agence nationale pour l’Emploi (ANPE), et d'autre part, l'UNEDIC, l'Union Nationale des Assurances pour l'Indemnisation du Chômage. Puisque selon le credo capitaliste, le chômage ne provient de la décrépitude du capitalisme, et de sa faillite, mais du manque de "flexibilité" des "employables" ainsi que de la trop grande réglementation du "marché de l'emploi". D'où il résulte que l'indemnisation du chômage est sоumіsе maintenant à un chantage éhonté vis-à-vis des chômeurs, et que ce n'est plus un droit acquis.
Tu sais aussi combien les employés de cette fusion "Pôle Emploi" ne sont pas satisfaits du travail qu'on leur fait accomplir, à ce "guichet unique".
De toute façon des l'instant que l'on est pas de ton avis (clim )c'est simple on est de l'autre bord c'est tres drole tu est pathétique
Je vais éviter de faire de l'égotisme mal placé.
Climax à l'air d'adorer.
Le bon professeur qui travaille 47 semaines par an - les jours fériés et qui choie ses petits élèves, tout en étant académiques parfois éloigné des réalités... je connais ce sont les seuls qui m'ont collé - de 7 au Cnam.
Non que je n'ai pas eu d'intérêt à leurs cours... mais que son académisme en faisait un galimatias mathématico-linguistique. Entre un anglais, non maîtrisé que l'on retrouvais dans des traductions dignes de celles que je rendais en 2nde (avec un puissant "On ne traduit pas une phrase, mais une idée" lancé à la cantonade par le prof d'anglais pour me foutre la honte!).
Comme le résume Arnaud et d'autres que je ne citerait pas, le débat est un échange d'idées en prenant toutes les idées des uns et des autres sans les occulter.
Le fonctionnaire de ta génération en particulier est un homme ou une femme à qui l'on assurait, à l'époque - lorsque tu étais tout juste majeur - un boulot à vie.
On ne lui demandait pas de s'adapter, on ne lui demandait pas de s'ouvrir aux autres ou au monde, on lui demandait de faire son boulot, comme un petit robot et l'époque étant, par l'exploitation du colonialisme (que certains organismes d'état - ancrés à gauche - pratiquent encore), prospère, les salaires étaient royaux.
Les choses ont changé notamment avec un certain socialo-fascisme rampant qui eut court pendant 16 ans et qui perdure encore. Où l'on voyait les hommes politiques diviser les communautés pour mieux les contrôler et les monter les unes contre les autres tout en dilapidant allègrement le trésor national (la sécu étant déjà en déficit en 1981).
On développa alors le syndicaliste, l'ouvrier ceinture-bretelle, perroquet de son état...un vrai Président à qui le patron ouvrait la porte.
Ces gens là ne savent pas s'adapter, ne savent pas évoluer et souvent sont des aboyeurs de la direction (à la botte du patron) pour gagner de l'argent (rappellons que les grèves sont des jours non payés et que grâce à ça l'entreprise fait de substantielles économies). Le syndicaliste lui sera rémunéré par ... son syndicat (donc, nos impôts).
Aujourd'hui ces syndicalistes ouvrent les yeux et ne supportant plus ... ou plutôt ... ne voulant pas s'adapter au monde qui les entoure deviennent de vieilles peaux aigries qui coupées des réalités, choisissent leur dernière liberté: le suicide!
Sur la loi Le Chapelier, il faut voir le verre à moitié plein aussi Monsieur CLIMAX.
Le but d'interdire les rassemblements permettait d'interdire les entreprises Anonymes...où les responsabilités sont diluées. Tu sais les entreprises qui viennent à la rescousse des PME mourantes, rachètent leurs асtіfs, musèlent les salariés, déménagent les machines et laissent les salariés en рlап et sans salaire.
Si la loi le Chapelier existait, la personne morale n'existant pas ce serait le dirigeant qui irait en tôle.
L'intelligence politique si tant est que tu puisses penser par toi même et non à travers des livres déjà écrits. En clair, en confrontant tes idées avec des jeunes ... y compris cette génération Y que beaucoup critiquent (j'ai testé, ils sont farceurs, taquineurs, mais pas méchants), tu ouvrirai ton esprit et tu aurai posé des idées intermédiaires.
Je crois que la loi orgaпіԛuе parle d'amendements (j'ai un niveau bac en droit, mais j'ai eu un très bon professeur en association pour apprendre droit et communication).
Pour le reste, tu es hors course mon pauvre Climax,... has been comme disent ceux de ton âge, ... être un phoenix de nos jours est une obligation.
Il y avait une quinzaine d'année en arrière une publicité d'Air France disait :"S'adapter ou mourir, nous avons choisi de vivre". J'adorais ce slogan très diplomate et très pro асtіf à la fois.
Enfin, me concernant - je vais un peu parler de ma modeste personne - je n'ai jamais eu de problème de taf ou de carrière.
Je n'ai pas attendu en priant, à genoux que mon boss m'augmente.
Je fais comme font les jeunes aujourd'hui avec leur boss... tu t'adaptes, ou je m'adaptes... et donc, je dégage.
Et pour les petits jeunes aujourd'hui, souscrivez une assurance protection juridique les enfants. Ca coute moins cher qu'un syndicat (même après déduction d'impôts) et ça ne met pas trois ans à bouger en vous laissant crever dans votre dépression.
Un patron, c'est comme un syndicaliste ça se dresse à coup de lois.
N'oubliez jamais de passer une raclette de tapis vert lorsque vous partez d'une boîte, un patron qui arrange la loi à sa façon, doit être généreux envers vous.
Monsieur Climax, a bow for you.
Bises aux autres.
Bien. Le langage employé est structuré. Pour le moins.
Nous apprenons que les syndicats, qui ont eu bien du mal à se constituer, seraient des outils du patronat. Pour ma part, je connais des appareils syndicaux qui, effectivement, sont des aides précieuses apportées au patronat ; des appareils qui, jamais, ne s'appuieront sur les millions de personnes en grève pour défaire un gouvernement (je pense à la grève relative aux retraites, où l'appareil de la CFDT et celui de la CGT firent сароtеr la mobilisation, par des grèves à répétition, et surtout par un refus d'appeler à la grève générale) ; pour autant, il y a dans les syndicats de salariés les syndiqués, qui tentent, encore et toujours, de s'emparer de ce qui est la première forme d'organisation de classe.
Pour le reste, je ne vois qu'attaques ad hominem, dépréciation de l'adversaire ("socialo-fascisme", "si tant est que tu puisses penser par toi-même et non à travers des livres déjà écrits", "has-been", le ton général de l'ensemble, "un bow for you", "je vais éviter de faire de l’égotisme mal placé, Climax a l'air d'adorer", "tu es hors course, mon pauvre Climax"). Et non, il n'est pas possible qu'il y ait des "idées intermédiaires" à poser avec des positions comme celles-là : le ton de l'insulte, d'ailleurs, n'y invite pas ; le ton du mépris haineux qui ici s'affirme très ouvertement, mais qui était présent dès la première communication.
Il y a un paradoxe : engager au dialogue, alors que l'on tient son interlocuteur pour indigne, et que l'on s'emploie à l'outrager, à le dénigrer, à le rabaisser.
--- Quant au capacité de dialogue d'etiaw, quand même : j'indique que la loi Le Chapelier interdisait les coalitions ouvrières ; pour lui "c'est un verre à moitié plein", parce que peu lui chaut de cette longue histoire du syndicalisme, qu'il tient pour néfaste, inutile, superflue, accessoire ; il se trouve que pour moi l'essentiel de cette loi visait à prohiber la constitution des ouvriers éparpillés, disjoints, isolés en une classe sociale active, comptant, faisant poids, au travers de leur réunion volontaire dans le syndicat, parce qu'une classe sociale n'existe pour soi que par sa résistance à l'atomisation sociale (diversité des conditions de travail, des lieux, des rémunérations) et par la mise au point de programmes d'action. Et les syndicats, malgré les appareils syndicaux, restent encore, pour les travailleurs salariés, le moyen de se constituer en une force sociale.
--- Ayant peu de goût par ailleurs à recevoir des morsures ;
n'ayant pas de goût pour répondre à des choses grotesques et caricaturales comme "On développa alors le syndicaliste, l'ouvrier ceinture-bretelle, perroquet de son état...un vrai Président à qui le patron ouvrait la porte". ;
n'ayant pas le mauvais goût de répondre à ceci : "Aujourd'hui ces syndicalistes ouvrent les yeux et ne supportant plus ... ou plutôt ... ne voulant pas s'adapter au monde qui les entoure deviennent de vieilles peaux aigries qui coupées des réalités, choisissent leur dernière liberté: le suicide!" (quelle pensée sur ce qu'est la souffrance sociale, quelle pensée sur la fusion ANPE-ASSEDIC, quelle pensée sur le fait de ne plus pouvoir faire son métier, c'est admirable de finesse et de compassion !!!),
je laisse le terrain à etiaw, flamboyant représentant des dogmes de la droite politique.
Et je souhaite bien du рlаіsіг à ceux qui voudront discuter avec lui, si ouvert, si peu "has been" (être partisan des 48 heures par semaine vous place évidemment à l'avant-garde de la pensée de demain et ne relève pas d'une vieille tradition d'exploitation de la force de travail, jusqu'à épuisement) ; avec quelqu’un qui confond la vie sociale avec une perpétuelle compétition (en quoi il est un tenant de ce que l'on a appelé "le darwinisme social", la transposition des lois de l'évolution des espèces découvertes par Darwin - la sélection par l'adaptation au milieu - à la vie des société humaines).
Et l'on ne salue pas quelqu'un qui exprime du mépris envers vous, il ne manquerait plus que cela. Et qui vous l'exprime en anglais, parce que l'anglais, ça fait plus chic. "A bow for you" : un arc pour toi.
"Être un Phoenix de nos jours est une obligation" : si tu savais mon nombre de résurrections, et les difficultés surmontées dans ma vie, tu ne lâcherais pas cette phrase grotesque.
Assez perdu de temps avec un caricaturiste.
D'un magistrat ignorant
C'est la robe qu'on salue.
Livre V - Fable 14 - L'âne portant les reliques
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
Livre 2 - Fable 11 - Le lion et le rat.
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