ROMANTISME
sonnet
Les amoureux pleuraient et s'épanchaient les coeurs.
Tourbillonnait la valse et santé languissaient.
Foisonnait le poète et amours frémissaient.
L'être s'écartelait et liait âmes soeurs.
Les costumes d'alors, donnaient aux cous raideurs;
Mais, de tous sentiments, les dons ennoblissaient.
Les femmes, de leur jupe aux ampleurs, angoissaient ;
Mais pour passer la porte accroissaient leurs terreurs...
Le décor, le jardin, tenaient grande la place.
Courtoisie assidue et d'avoir de la classe,
Importaient. Si la ruine apportait sa beauté,
Ce n'était que l'attrait d'un certain archaïsme,
Car, pour chacun d'eux, l'art toujours était côté.
Seuls les rêves d'amour sont nés du ROMANTISME!...