Saule vs Pleureur - Littérature & poésie

Saule, pourquoi tu pleures?

T'as-t-on fait écouté la mélodie du la si sol quand le do entraine le ré mi fa au sol.

Ce sol dans lequel s'y plante tes racines se tenant au carré, par peur, d'avoir des pointes de côté.

Et du côté gauche au côté droit, comme du côté droit au côté gauche, il n'y a personne se trouvant à tes côtés.On t'a donc laissé de côté, faute d'être suffisamment coté au sеіп de notre société individuelle et abimée.

Enfin c'est abimée qu'est ton écorce sur laquel nous t'avons mutilé par nos souvenirs gravés, dans ton habit boisé, entâché par de nombreux maux que nous t'avons laissés.

Laissé et lassé, je t'esquisse quelques mots car je n'ai pas pu esquiver mes propres maux, les sens des mots sont à prendre à demi-mesure, ce sont les précurseurs de l'essence des maux.

Alors sentant l'herbe fraiche à mes pieds et dans ce face à face, face à toi, Saule, je respire l'air que tu procures et je m'excuse d'être imparfait, un parfait être humain et je me rend compte que...

...Tu es le Saule, je suis le pleureur.

Pas mal!

Peut-être à retravailler... toutefois, j'adore vraiment le début et la fin!

Oui il y a un truc qui me gêne mais j'arrive pas à le tourner, c'est quand je commence à parler de côté, ça sonne mal et c'est lourd... enfin je trouve.

Oui il y a un truc qui me gêne mais j'arrive pas à le tourner, c'est quand je commence à parler de côté, ça sonne mal et c'est lourd... enfin je trouve.

Je trouve aussi! Mais ne t'inquiètes pas, tu vas trouver!

J'adore la métaphore !
Ne te creuse pas trop la tête sur les imperfections du texte. C'est le premier jet qui fait toute la pureté des mots !
Et j'ai vraiment adoré cette pureté comme des sons écrits sur la gamme pentatonique.
Je te dis bravo
(ps : écire c'est mon métier)