Belle chanson pleine de nostalgie mais on est loin du rêve américain…
Caryl Chessman qui passe à la chambre à gaz quand Charles Milles Manson, lui, sauve sa peau et meurt de mort naturelle en 2017.
Le tout dans une atmosphère de guerre froide, de désillusions post mouvement hippie, de sectes, d'un pays à deux vitesses qui voit les uns sombrer quand les autres prospèrent.
Il y a bien les photos de papier glacé des stars du grand écran figées par George Hurrell…
Un monde qui fait rêver pour mieux supporter un monde qui fait peur
Je regarde l'ensemble avec circonspection mais merci d'avoir alimenté ma méditation du soir, Sébastien