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So far away from L.A. - Musique & cinéma

Sujet de discussion : So far away from L.A.
  • pegase49 Légende urbaine
    pegase49
    • 8 janvier 2019 à 21:26
    ...photo-marlon-brando-jeune.jpg...

    Sous l'azur des légendes, là où brille l'or des étoiles,

    Son clair obscur trompe l'ennui des couleurs du passé.

    Figées en idéales,

    Les idoles s'abandonnent sous l'oeil de George Hurrell,

    Cet absolu sur papier glacé qui sacre les mythes.


  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 8 janvier 2019 à 22:44
    Belle chanson pleine de nostalgie mais on est loin du rêve américain…

    Caryl Chessman qui passe à la chambre à gaz quand Charles Milles Manson, lui, sauve sa peau et meurt de mort naturelle en 2017.
    Le tout dans une atmosphère de guerre froide, de désillusions post mouvement hippie, de sectes, d'un pays à deux vitesses qui voit les uns sombrer quand les autres prospèrent.
    Il y a bien les photos de papier glacé des stars du grand écran figées par George Hurrell…

    Un monde qui fait rêver pour mieux supporter un monde qui fait peur

    Je regarde l'ensemble avec circonspection mais merci d'avoir alimenté ma méditation du soir, Sébastien
  • pegase49 Légende urbaine
    pegase49
    • 8 janvier 2019 à 23:14
    Bonsoir Parfum de femme,

    Cette chanson est un constat au confluent des époques, elle ne chante pas le rêve Américain mais une certaine idée de l'Amérique...

    Dans ses excès, clair obscur à l'image de ces photographies.

    Oui, on vепԁ du rêve pour supporter le reste...

    Les stars sont les idoles des temps modernes...

    On fabrique des mythes sous pellicule que l'on va célébrer dans les salles obscures.

    Comme tu l'as remarqué, je me suis concentré sur la partie "Hollywoodienne", si j'ose dire, que sur le reste de la chanson.

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