Ta peau frissonnement, essaimant dans mon poil - Littérature & poésie

Ta peau frissonnement, essaimant dans mon poil
Un aimant sidérant, un aimant libellule,
Le songe d'un Ьаіsег pourléchant ton poitrail
Aux tétons redressés. Panoptique cellule,

Je zyeute tes biceps ; mon regard abyssal,
Mariée à ta noirceur de mâle renonсule,
Devine, enracinées, - mon Avril tropical -,
Tes virilités longues. Je suis le rétiсule

De mon attachement, empêtré du regard
A tes bras veloutés - Ta mimique est un art.
Émois à sens unique, avide est ma prunelle,

Croquée ta silhouette, où les yeux féminins,
Les Ьаіsегs enlacés ont tracé tes chemins
Dans la femme, ô lame et lueur circonstancielle.


Climax007, SD, le 03-09-2018

En réponse au message de edgar66 :

Ah Francis Cabrel, j'estime ce chanteur, bien singulier dans la variété française ; longues chansons, accent assumé du Midi, du texte pour réfléchir et ressentir. Belle guitare et... il est appétissant (il le sera toujours !)

Quant à moi, je raconterai des histoires avec homme quand son poil et sa voix ne seront pas des songes revenant encor et encor (licence poétique), et ce n'est que le début, d'accord, d'accord.

Merci Larex, nouveau xyz ! Et on reprend au début !

au félin !

En réponse au message de pegase49 :

Monsieur a mal suivi, il voit une rengaine
mais j'effile les corps, les regards et la Seine ;
Je suis un brin ductile, mon tout est électrique,
il suffit d'un autre œil pour qu'autre soit ma trique !

Monsieur n'a pas écouté la chanson jusqu'à la fin...

Mais bien sûr, on interprète que ce que l'on veut bien entendre...

Enfin bref, voila ce qui arrive quand on s'enferme en fапtаsmеs.

Ahah!!

En réponse au message de pegase49 :

Monsieur n'a pas écouté la chanson jusqu'à la fin...

Mais bien sûr, on interprète que ce que l'on veut bien entendre...

Enfin bref, voila ce qui arrive quand on s'enferme en fапtаsmеs.

Ahah!!

Il y a des chansons qui ne s'écoutent pas, pourquoi prendre cette peine quand l'intention de celui qui la poste, toi, se résume à un "Rengaine ta rengaine", c'est-à-dire - en un langage plus direct - "Ferme-la, tu te répètes, tu nous bassines" ?

Voilà le fond de mon impression.



Mais bien sûr que j'ai ma subjectivité, il ne manquerait

plus que le contraire ; quant aux fапtаsmеs

(pris dans le sens de rêveries diurnes conscientes),

ils m'appartiennent, me soutiennent, font partie de moi,

tous comme ceux plus inconscients :

personne ne peut avoir la folle prétention d'y échapper,

à moins qu'il entende récuser son humanité.

Salutations.

Donc tu confirmes, tu ne l'as pas écoutée, elle se termine, grosso modo, et pour faire simple, ainsi:

Bah oui, j'ai mes rengaines, mais elles sortent du coeur, je ne suis pas "mécanique".

Alors, clicli, une fois de plus, tu montes sur tes grands chevaux pour rien.