Ta peau me conviait vers les longues étendues - Littérature & poésie

Ta peau me conviait vers les longues étendues
Aux déserts égrenés par les vents des tempêtes ;
Et les sphinx suspendaient un regard moins tendu,
- Dans le néant des songes - que tes yeux très-sévères

Pétrifiant d'un seul trait ; les voiles et les tissus
Des caravelles en chasse - aux contrées imparfaites
Depuis lors révélées - balançaient vers les пuеs
Les drapés et les nœuds, quand, marin solitaire

Vêtu d'oranges et pourpres, tu condensais le ciel
Dans la brève étincelle des lueurs du miel
Coulant - au cœur lourd des étés - leurs épaisseurs

Ambrées des soleils drus sur l'écorce des arbres ;
Tu étais juif, marrane, catholique et arabe,
Comme tout portugais conciliant les ailleurs.

Climax69007, le Dimanche 20 Septembre 2015.

xD

Merci pour mon Portugais !

Une vérité premier... Que de ce perdre dans le bonheur d exploré avec douceur la peau d un homme пuе .. Ces forme sont comme un voyage... ...
Il est vrai que suivant le type de peau on change de pays... La peau blanche.... Dorée... Mate ...brune... Foncé... Est le moyen de traverser toute la planète sur un simple lit ...
J ai une préférence... Mais j attend surtout de changer d avis au gré d une nouvelle rencontre .
Super t on poème... Le rêve de nouvelle découvre est bien présent.
Aller visiter la douce région de Reims... Certaines peau sont de toute beauté.... Avec la сhаlеuг de bulle ... Digue d une autre planète

Ohh Serge ...

Je suis fier de ce texte qui rend un hommage à un amour, et à un homme que j'ai aimé ; il avait la complexité du Portugal, le regret de ses soleils, sa peau était arabe, son esprit marrane, son idéologie catholique (plutôt dirigée vers le Fils que vers le Père), et ses attachements très fidèles.

Climax tu peu ...