En réponse au message de parfum-de-femme :
Et quand bien même la maladie lui aurait facilité son départ, qui l'a un peu connu connaît sa logique qui était finalement celle d'une auto-destruction.
Serge était auto-destructeur, il se complaisait dans son état et toute solution évoquée ne lui donnait jamais satisfaction.
Il avait un mal-être permanent et en voulait à la terre entière.
En dehors de la mort de Simon qui l'a ргоfопԁément abattu, rien sur le рlап humain ne trouvait gr^$aace à ses yeux. Il était un éternel insatisfait, sans cesse en quête d'un bonheur qu'en fait, il s'interdisait. Il ne retrouverait jamais celui vécu avec son Simon qui lui était devenu une pensée morbide.
C'est paradoxal, mais c'était tout Serge.
Quelque part, ce contexte me rappelle une parole que nous disait une mаîtгеssе d'école :
- Pourquoi voulez-vous décrotter les indécrottables ?...
Et il m'et arrivé de penser à diverses reprises que Serge finirait un jour par mettre un terme à tout cela...