Allez, une autre chronique de la nuit ordinaire ; pour échapper aux manœuvres insidieuses de mоп согрs solitaire, me faisant sentir les besoins invétérés voire très aigus de ma sехualité ; plutôt que de regarder la télévision, je viens me repaître ici.
Eh bien, c'est comme un рогпо, léger très léger, censeurs ne vous alarmez point ! La machine à fапtаsmеs est lancée !
Le vue n'est pas offusquée, les sens sont titillés par des mises en valeur très étudiées. Ainsi du populaire débardeur.
Le débardeur est une pièce vestimentaire à peine visible, dont toute la distinction est de laisser croire à l'habillement du corps alors que celui-ci, dessous le tissu qui épouse et suit les volumes, est un cri de пuԁіté.
Ah, cet homme-ci, harnaché de ses abdominaux et de ses pectoraux, se déshabille par une blancheur sculpturale, par un seconde peau de tissu immaculé faisant montre de ses muscles mâles.
Et cet homme-là, par la noirceur du débardeur, se retrouve torse et sехe suggérés, moulés, faussement dissimulés, hardiment amplifiés, avec - je me plais à le souhaiter - un friselis de poils lui panachant le ventre d'une aigrette de virilité.
Mais ces paons tout frémissements de muscles passent pour l'agrément de l’œil ; à moins d'avoir des hallucinations cénesthésiques, il n'y a rien à caresser de la main !
Amours instantanées et si vite détrompées !
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