Tu t'en vas quand nos corps s'entrelacent
De nos bras qui s'enroulent, et tu dis vague comme une
Eau qui se brouille.
De ces deux mains qui s'offrent un sillon vers
Un dessеіп jetée, Ô Souffles Éoliens violents, je plonge
Sur la courbe de tes reins, laisse moi juste
T'apprivoiser, avais-je oublié qu'aimer était survie, En
faim se rebellent tes sens, beau et mien ce soir tu
M'étreins, atténues toutes ces retenue, ne te méprends
Bon sang tu m'es chair le sens tu enfin ! Tu m'effares je
Marine ! O gît temps de Léna Morada tu clames tango je
T'enlace, sur les touches du piano naît l'accord en
Vibration Majeur ! Avec élégance tu mets gare, quand ton
Regard fait Naître en moi mes étincelles, à tension, tu
M'éveilles quand on se noie ensemble dans l'océan des
Soupirs, tu m'éclaires. Tu souris quand ton orgueil
Remplace les faits qui l'accomplissent.
Dès que tu te fais mâle, au sеіп de ta malice, female
Complice et revival, je te suis, mais des monts
Verts, résonne le timbre du supplice.
Escrito 27 de dezembro de 2013 por Alison Emma