ULTIMA MERDA!
je n'ai pas le talent de VICTOR HUGO hélas! pour écrire un pamphlet à sa manière et sur les mêmes rimes...
Quand même cesserait la cécité publique
A ce point de honnir ce sinistre menteur:
Quand même ses amis, déchus en politique
Flouant tous nos deniers, lasseraient l'électeur:
Quand même on les aurait reconduits à la porte;
Quand pour plaire au Macron, on nous ruinerait tous;
Quand le chômeur devrait perdurer de la sorte,
Déchiré, sans espoirs, par la hагԁe de loups;
Quand ayant maintes fois dû retourner sa veste
En flattant les flatteurs, en huant les hués;
Quand même de sa place et sans même un seul geste
Il pourrait contempler ses fidèles tués;
Il ne partirait pas! Buvant comme la mouche,
Avide de charogne, au suint de la peau,
Il se raccrocherait, comme sainte-Nitouche
Priant dans les lieux saints sans ôter son chapeau,
A tous les"Faux acquis", croyant le peuple inculte.
"Bannis, la république est là qui nous unit"
"J'attacherai la gloire à tout ce qu'on insulte"
"Je jetterai l'opprobre à tout ce qu'on bénit",
Pourrait-il plagier sans qu'on le désapprouve?
Sans, la voix qui s'insurge et le coeur qui dit: non!
Dilapidant l'argent pour sa gloire au "grand Louvre".
Il vaudrait mieux le mettre enfin au cabanon!
En voyant l'hécatombe: existences tranchées
Par la vaccination, peut-il rester serein?
Pas de gouttes de sang ne seront retranchées
Pourvu que ça rapporte aux copains mandarins!
Oui, tant qu'il sera là, toi "douce France" triste
Tant qu'il engendrera des pauvres chaque jour,
Acсumulant l'horreur et quand l'erreur persiste,
Tu seras le tombeau des espoirs!... de l'amour!
Nous ne jоuігons plus, gambadant sur la sente,
Du bonheur de la vie, Hélas! tout mon sang bout
D'être contraint d'attendre et qu'enfin il consente
A partir de plein gré sans aller jusqu'au bout!
L'amputer des deux bras ne pourrait mettre un terme
A son mandat trop long: Il peut toujours dicter!...
Privé de ses deux pieds , рlапant sur le sol ferme,
On l'entendrait maudire et peut-être éructer.
Qu'il perde la prostate: il demeure quand même
Car il lui faut nourrir sa femme et sa smalah!
Теstісulеs castrés en supplice suprême,
S'il lui restait la langue il serait encor là!